Noces secrètes
Auteure: Margaret Moore
Nombre de pages: 384"Un doux mélange entre histoire et romance.. Les personnages de Margaret Moore s'animent avec passion et détermination" - In the Library Reviews
"Un doux mélange entre histoire et romance.. Les personnages de Margaret Moore s'animent avec passion et détermination" - In the Library Reviews
Devenu lord Ashendon, le major Calbourne Rutherford quitte l’armée pour s’occuper des affaires familiales. Non content de découvrir que ses deux jeunes sœurs font les quatre cents coups, voilà qu’il récupère une nièce sortie de nulle part, qui se révèle une vraie sauvageonne. C’en est trop pour un seul homme! Il n’a pas le choix, il lui faut d’urgence trouver une épouse capable de mater cette jeunesse turbulente... Ainsi le major demande la main d’Emmaline Westwood, la vieille fille qui enseigne au pensionnat voisin. Bien sûr, c’est un mariage de raison mais, sous ses airs guindés d’institutrice, Emmaline cache une nature sensuelle qui va bouleverser tous les a priori de Calbourne...
Ce premier recueil rassemble tous les articles de Maurice Nadeau parus durant 7 années, dans le quotidien « Combat » d’Albert Camus, l’hebdomadaire « Gavroche » ou le mensuel « Mercure de France ». Couvrant tous les domaines français et étranger, c’est la première étape de l’évolution d’un monde littéraire qui s’affiche au lendemain de la Libération. Les années « Combat » c’est Sade, Gide, Léautaud, Artaud, Giono, Malraux, Céline, Cendrars, Sartre, Camus, Queneau, Vailland, Blanchot, Genet, Cioran, Beckett, Barthes, Bataille, Char ou Michaux. C’est aussi, Gorki, Kafka, Koestler, Lawrence, Moravia, Dos Passos, Hemingway, Miller, Steinbeck, Wolfe, Wright. Plus de 600 ouvrages chroniqués relatent un itinéraire hors du commun où journalisme littéraire, batailles d’idées et premiers pas dans l’édition, sont mêlés pour définir en creux une personnalité. 1472 pages illustrées de cinquante reproductions de la page littéraire de "Combat". Préface de Tiphaine Samoyault. Maurice Nadeau (1911-2013) a commencé en 1945 sa carrière à Combat, le quotidien d’Albert Camus et Pascal Pia. Il y a dirigé une page littéraire hebdomadaire de 1946 ...
Angleterre, 1243 La petite Constance de Marmont a tout juste cinq ans quand, devenue orpheline, elle est fiancée par son oncle au jeune Merrick, fils de d’un puissant seigneur des environs. La fillette est aussitôt emmenée chez ce dernier, au château de Tregellas, où sa vie prend figure de cauchemar. Maltraitée par son hôte, William le Mauvais, Constance l’est également par Merrick, qui fait d’elle son souffre-douleur jusqu’à ce que, à l’adolescence, il quitte le château pour commencer son apprentissage de chevalier... Des années plus tard, Merrick, devenu le nouveau maître de Tregellas, revient prendre possession de son fief _ et de sa promise. Constance, qui appréhendait tant ces retrouvailles, découvre avec surprise un homme séduisant et énigmatique, très différent du souvenir qu’elle en a gardé. Si différent, même, qu’elle en vient à douter de la réalité de cette métamorphose et commence à soupçonner Merrick de lui cacher de noirs secrets. Et ses craintes grandissent encore quand, sitôt leurs noces conclues, d’inquiétants incidents se produisent au château...
Bibliographie de l'Empire français, ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie
Angleterre, 902 Sitôt veuve, Endredi est remariée d’autorité par les Vikings à un seigneur saxon, Bayard. Une union censée sceller la paix entre les deux peuples... D’abord terrifiée, Endredi est soulagée quand, le jour des noces, elle découvre son époux. Non seulement Bayard n’est pas déplaisant, mais peut-être lui donnera-t-il enfin cet enfant dont elle rêve ? C’est alors que, dans un coin de l’église, elle aperçoit un visage familier : celui d’Adelar, son premier amour. Et elle reçoit un second choc, après le mariage, en découvrant qu’Adelar est le cousin de son mari et partagera leur toit. Une promiscuité d’autant plus troublante que les deux hommes semblent avoir conclu un mystérieux pacte dont elle est l’objet...
Je m’appelle Anne de Montfort. En cet automne 1761, j’apprends que Jean, mon frère, ma seule famille, a disparu aux Indes. Est-il tombé dans la guerre sans merci opposant Louis XV au roi d’Angleterre, des Amériques à l’Asie ? Croupit-il dans les geôles de Madras ? A-t-il résolu de chercher fortune au service de quelque nabab ? Je veux, je dois savoir. Comment ? À dix-huit ans à peine, orpheline, sans le sou, sans relations, dois-je me résigner et accepter ce destin tout tracé, le couvent ? Et s’il existait un autre choix, plus insensé, celui d’embarquer sur un navire, à n’importe quel prix ? Mon cousin René-Auguste de Chateaubriand, armateur respecté parmi ces messieurs de Saint-Malo, mon ami d’enfance Corentin, matelot de la Compagnie des Indes, mère Saint-Yves, supérieure des Ursulines de Dinan, m’aideront-ils ou me feront-ils obstacle ? Je n’ai pour moi que ma jeunesse, le prestige de mon nom, ma détermination, et cette devise d’Anne de Bretagne que j’ai faite mienne : non mudera, je ne changerai pas.
Le Livre de bon amour raconte et chante, prie et plaisante, tout au long de plus de 1600 strophes, la plupart écrite en une adaptation du « métier de clergie » (les vers ont de 14 à 16 syllabes), les autres selon des formes lyriques inspirées de diverses traditions. Plus contemporaine de Pétrarque que de Dante, son écriture est portée par le désir spirituel du salut et par la joie carnavalesque d’un érotisme parfois cru, parfois voilé. Il puise aux sources de la tradition scolastique, mais ne dédaigne pas une veine plus paillarde. Un archiprêtre y est mis en scène, qui est également le narrateur d’aventures galantes moins biographiques que destinées à illustrer la casuistique amoureuse de façon vivante, joyeuse et légère. La mort, cependant, est plusieurs fois au rendez-vous et fait l’objet d’une méditation pleine d’émotion. Au Moyen Âge, la vie n’est pas loin de la mort et vice-versa. De là, la ronde dans laquelle le Livre entraîne son lecteur, d’aventure en aventure, de méditation en méditation. Il s’encadre mystiquement de « Joies de Marie », deux au début, deux à la fin, où s’arrête cette traduction. Entre ces prières...
Rebelles et fragiles à la fois, Meredyce et Endredi sont prêtes à renoncer à tout... sauf à l’amour. Le VikingEnlevée par un Viking, redoutable ennemi de son peuple, Meredyce est déterminée à s’échapper. Car elle ne se fait aucune illusion sur les intentions de son ravisseur : il sera sans pitié. Mais, avant toute chose, il lui faut libérer les enfants innocents qui ont été enlevés en même temps qu’elle. Et, surtout, résister à la flamme troublante qui brûle dans les yeux du guerrier viking. Car, pour tromper la vigilance de cet homme, elle doit l’apprivoiser – et non l’inverse ! Le SaxonBouleversée, Endredi apprend qu’elle devra épouser un seigneur ennemi du nom de Bayard, afin de sceller la paix entre les Vikings et les Saxons... Mais lorsque, le jour de ses noces, elle découvre son époux, elle ressent un immense soulagement. Car Bayard est loin d’être déplaisant. C’est alors qu’elle aperçoit un visage familier : celui d’Adelar, son premier amour... et le cousin de son mari ! Un hasard d’autant plus troublant que les deux hommes semblent avoir conclu un mystérieux pacte dont elle est l’objet... A propos de l'auteur :La...