
Le panafricanisme
Auteure: Philippe Decraene
Nombre de pages: 144Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Les arts révèlent des métamorphoses identitaires qui interrogent les représentations sociétales dominantes. Cet ouvrage interdisciplinaire nourri d'exemples contemporains issus du théâtre et du cinéma, renouvelle les études postcoloniales, culturelles, gender, ainsi que les théories queers, au-delà des appartenances culturelles, raciales ou de genre.
« Femme nue, femme noire, vêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté... Ces vers ne font pas partie de mon arsenal linguistique. Vous verrez : mes mots à moi tressautent et cliquettent comme des chaînes. Des mots qui détonnent, déglinguent, dévissent, culbutent, dissèquent, torturent ! Des mots qui fessent, giflent, cassent et broient ! Que celui qui se sent mal à l'aise passe sa route... Parce que ici, il n'y aura pas de soutiens-gorge en dentelle, de bas résille, de petites culottes en soie à prix excessif, de parfum de rose ou de gardénia, et encore moins ces approches rituelles de la femme fatale, empruntées aux films ou à la télévision. » Une fable violente, sensuelle et provocante sur l'Afrique noire, partagée entre révolte et résignation. De débauche en libertinage, ce premier roman érotique de Calixthe Beyala conjugue l'originalité, la force et l'humour de l'auteur des Honneurs perdus.
La 4e de couverture indique : " Le plus dur aujourd'hui est que l'espoir s'en va... Aimons notre terre ; nous l'arroserons de notre sueur et la creuserons de toutes nos forces, avec courage. La lumière de notre espérance nous guidera, nous récolterons et bâtirons. Alors seulement nous pourrons emprunter les routes du ciel, de la terre et de l'eau sans être chassés comme des parias. Nous ne serons plus des voyageurs sans bagages. Nos mains calleuses en rencontreront d'autres en de chaudes poignées de respect et de dignité partagée... "
Salie vit en France. Son frère, Madické, rêve de l'y rejoindre et compte sur elle. Mais comment lui expliquer la face cachée de l'immigration, lui qui voit la France comme une terre promise où réussissent les footballeurs sénégalais, où vont se réfugier ceux qui, comme Sankèle, fuient leur destin tragique ? Comment empêcher Madické et ses camarades de laisser courir leur imagination, quand l'homme de Barbès, de retour au pays, gagne en notabilité, escamote sa véritable vie d'émigré et les abreuve de récits où la France passe pour la mythique Arcadie ? Les relations entre Madické et Salie nous dévoilent l'inconfortable situation des " venus de France ", écrasés par les attentes démesurées de ceux qui sont restés au pays et confrontés à la difficulté d'être l'autre partout. Distillant leurre et espoir, Le Ventre de l'Atlantique charrie entre l'Europe et l'Afrique des destins contrastés, saisis dans le tourbillon des sentiments contraires, suscités par l'irrésistible appel de l'Ailleurs. Car, même si la souffrance de ceux qui restent est indicible, il s'agit de partir, voguer, libre comme une algue de l'Atlantique. Ce premier roman, sans concession, ...
La présente édition (la quatrième?) a été nettement augmentée, en particulier d'un chapitre consacré aux tendances, actuelles du roman, de divers développements sur les perspectives d'avenir de l'édition africaine, sur la question des littératures nationales et sur le problème de l'écriture en français. Le plan général de l'étude n'a pas été modifié : une première partie propose un bilan de la littérature africaine d'expression française depuis 1921, et une seconde partie replace la littérature nègre dans son contexte et en esquisse les perspectives. Très accessible.
Hommage à l'historien, spécialiste de l'Afrique des Grands Lacs, à travers des articles d'amis, de collègues et anciens étudiants sur ses grands thèmes de recherche que sont l'histoire des sociétés africaines, la construction idéologique des pouvoirs et la constuction des identités en Afrique, etc.
"Né pour être Sorcier" est le prochain BEST SELLER d'Amélie JEANNOT. A tous les fans de bit lit, fantastique, fantasy et de magie, soyez prêts à plonger à nouveau dans l'univers impitoyable des Sorciers. C'est LE livre à se procurer pour un moment d'évasion au pays de la magie. Description: Dans un monde où la magie est la norme, Gabriel, issu d'une famille d'illustres Sorciers, ne possède aucun pouvoir. Aidé de sa meilleure amie, Lina, il parvient à dissimuler son absence de magie, jusqu'à son dix-huitième anniversaire. Dénoncé par sa propre famille, Gabriel se résout à fuir. Il abandonne le village des Sorciers pour aller vivre parmi les humains. C'est alors que ses pouvoirs commencent à se manifester. Gabriel découvre la vérité sur les Sorciers. Une quête pleine de magie et de suspense prend place, entraînant Gabriel au coeur des secrets de la magie les plus inavouables... et les plus inavoués.
Shoushka a réussi à s'échapper du Royaume des Elfes. Avec l'aide de Benny, un humain rencontré lors de sa fuite, la jeune et jolie Elfe tente de fuir sa destinée. Mais, les Elfes Noirs sont sur ses traces. Pourchassée jusqu'aux confins du monde, Shoushka est forcée de recourir à la magie. Cela la sauvera-t-elle ? Benny parviendra-t-il à stopper les Elfes Noirs ? Rien n'est encore joué.
Migrations, diasporas, communautés : autant de notions, autant de concepts – pour le moins ambigus – qui concernent les populations noires des Amériques et s’inscrivent au cœur des grands débats actuels. Comment en effet envisager la notion de « diaspora » lorsque l’on est confronté à un tissu complexe de cultures diverses ? Comment parler de « communauté » lorsque des peuples ne semblent se conformer à aucun modèle stable d’identité, pas même à celui réputé dynamique de l’« hybridité » ? Utilisant les incertitudes de la notion de « diaspora », les ambiguïtés de son usage, Christine Chivallon s’appuie sur les faiblesses du concept pour proposer une approche inédite de la complexité des cultures noires américaines et tenter de cerner dans leur pluralité les lignes de force en jeu. Centré sur des exemples puisés dans la Caraïbe, l’ouvrage opère un va-et-vient entre théories et expériences sociales. Il envisage l’histoire de la transportation aux Amériques, la matrice des sociétés de plantations, les résistances culturelles des esclaves et de leurs descendants, les situations migratoires récentes depuis les Amériques, les...
Il y a un demi-siècle, le chercheur sénégalais Cheikh Anta Diop posait la question de la négritude de l'Egypte et de l'antériorité des civilisations nègres. Aujourd'hui, c'est d'Amérique du Nord que nous viennent les échos d'une telle contestation de l'histoire écrite par les Blancs. Les thèmes en sont multiples. Ne serions-nous pas tous les enfants d'une Eve noire ? La première civilisation ne fut-elle pas africaine, rayonnant ensuite de son berceau égyptien jusque dans la Grèce classique ? La déesse Athéna n'avait-elle pas une origine noire ? Les Hébreux n'auraient-ils pas eu l'Ethiopie pour vraie patrie ? La réécriture du passé des Africains, vu à la lumière de l'Egypte pharaonique, suscite une relecture du passé européen. Les humanités gréco-latines se voient opposer des humanités négro-égyptiennes. Des jeunes Noirs des métropoles des pays du Nord apprennent les hiéroglyphes et chantent contre la Babylone des Blancs. Et dans les pays du Sud, les Bantous sont érigés en équivalents des Aryens. Plus loin, l'Amérique aurait été découverte et peuplée par des Noirs, déjà présents dans les civilisations précolombiennes. Toute...
L'étude de la littérature en français(s) permet ainsi de mieux saisir les relations des phénomènes littéraires avec leur contexte socio-culturel et de comprendre quelles peuvent être les " lois " du développement de la littérature vers une plus grande autonomie. Le projet de cet essai est donc de s'interroger sur l'histoire scientifique des " études francophones ".
Le système colonial n'ayant jamais favorisé l'accès des Africains à l'enseignement supérieur, il avait pour objectif majeur de former des fonctionnaires auxiliaires et de délivrer des diplômes locaux uniquement valables dans les colonies africaines de la France. Les Africains ne pouvaient accéder aux études supérieures que s'ils devaient obligatoirement poursuivre des études de médecine vétérinaire. A cette époque, les rares élèves ou étudiants africains présents en France étaient des corporatistes qui se battaient pour être intégrés dans le système colonial. Ce sont quelques instituteurs ou des anciens combattants qui se battaient contre le système colonial et en faveur de l'indépendance. A la fin de la Deuxième Guerre mondiale, le nombre d'étudiants et d'élèves africains a augmenté grâce aux bourses du maire de Dakar, Lamine Guèye, et à l'envoi massif de boursiers ivoiriens favorisé par le gouverneur libéral Latrille. La période allant de 1945 à 1950 a vu naître des organisations politiques et syndicales d'étudiants africains. C'est à partir des années 1950 que les étudiants s'organisent pour lutter en faveur de l'indépendance des pays ...
En Egypte, depuis le XIXe s., un contexte favorable s'est installé pour faire de la langue française celle des élites égyptiennes et c'est entre les deux guerres plus précisément que la vie culturelle française prend un essor transcommunautaire remarquable en lien étroit avec artistes, écrivains et intellectuels de France, apportant aux Lettres une voix singulière. Edmond Jabès, Georges Henein, Georges Cattaui, Ahmed Rassim, Joyce Mansour, Albert Cossery et d'autres sont ici présentés, avec un choix de textes représentatif de la diversité créative qui les caractérisent.
Une fois par semaine, pendant une année, Andrée Chedid et Brigitte Kernel se rencontrent, se découvrent et s'apprécient. Rituel immuable où la poète, sensible et généreuse, se livre toujours un peu plus à la journaliste qui écoute, interroge, admirative et curieuse. Du Caire à paris, entre Nil et Seine, Andrée Chedid passe d'une rive à l'autre. Pudique, aimant plus que tout la vie, elle se dévoile par bribres, évoque l'Égypte, le pays de son enfance, sa famille, mais surtout sa fascination pour l'être humain, inépuisable source d'inspiration, qui constitue l'essence même de son oeuvre littéraire. Des sourires échangés autour d'une intimité partagée, des souvenirs évoqués aux anecdotes dévoilées, Andrée Chedid nous offre des moments emplis de grâce qui laissent entrevoir ce que la vie a de plus précieux... Romancière, nouvelliste, dramaturge, mais surtout poète, Andrée Chedid a reçu de prestigueux prix littéraires pour ses nombreux ouvrages en prose ou en vers, dont le prix Louise Labé et le prix Goncourt de poésie en 2003 pour l'ensemble de son oeuvre. Productrice et animatrice de Noctiluque et d'Un été d'écrivains sur France Inter,...
Au moment où on s'interroge sur le sort des langues dans une perspective de mondialisation, il est important de réfléchir aux conditions d'existence des littératures de langue française et à leurs interrelations. La question des rapports écrivains-publics est au cœur même des débats contemporains et met en cause la lisibilité des codes culturels et langagiers. Dans quelle mesure l'hybridité avec laquelle doivent composer les écrivains francophones donne-t-elle lieu à des " poétiques forcées ", selon l'expression de Glissant, ou à l'invention de nouvelles formes du dire littéraire ? Quelles esthétiques sont ainsi mises en jeu ? Dans quelle mesure l'inscription dans les textes d'un questionnement linguistique et littéraire et la pratique de la xénologie traduisent-elles un acquiescement à une norme exogène ou au contraire la mise en œuvre de 1'" opacité " indispensable à tout dialogue interculturel ? Dans quel(s) sens s'oriente alors la dialectique du centre et de la périphérie ? Toutes questions qui sont abordées dans cet ouvrage et qui montrent bien à quel point les enjeux des écritures francophones sont emblématiques de la scène littéraire...
Depuis les anneés 1830, quand les riches créoles de couleur de La Nouvelle-Orléans venaient étudier ou faire carrière à Paris, la France a représenteé pour les Noirs américains une terre de liberté. Arrivés sur les champs de bataille de la Grande Guerre avec le jazz dans leurs bagages, ils ont par la suite représenté une présence culturelle constante. Aux heures difficiles du maccarthysme, les expatriés se réunissaient dans les cafés du Quartier latin autour de Richard Wright, Chester Himes et William Gardner Smith tandis que James Baldwin cherchait son identité à Belleville Très écorné par la colonisation, puis par la guerre d'Algérie et la montée du racisme, le mythe de la France libérale et accueillante pour les écrivains et les artistes noirs américains subsiste encore aux anneées du Pouvoir noir. Il est perceptible à travers les impressions et les œuvres de contemporains dont de nombreuses citations enrichissent ce panorama. Dans une prose alerte et enthousiaste, cette chronique, pleine d'anecdotes révélatrices, offre des aperçus nuancés sur les rencontres entre cultures française, afro-américaine et africaine.
L'Afrique, enjeu de l'histoire: Afrocentrisme, Eurocentrisme, Sémitocentrisme et les deux ouvrages précédents Tarana ou l'Amérique précolombienne: un continent africain et Bakari II 1312, Christophe Colomb 1492 à la rencontre de l'Amérique appartiennent à une même trilogie. Ils prennent en compte les acquis exposés dans La révolution ramakushi ou l'archéologie linguistique et culturelle de la préhistoire spirituelle et intellectuelle de l'humanité sur la planétarisation récurrente de la terre opérée par la navigation transocéanique et la mondialisation à partir des XIIIe-XVe siècles, d'une histoire partagée de l'humanité. Il s'agit de travaux qui portent, en particulier, sur le passé des civilisations et des navigations nilo-transatlantiques. Celles-ci ont commencé à prendre forme dès la préhistoire, sous l'action des navigateurs et migrants natifs africains, qui ont emprunté les corridors balisés par les vents et courants du Nord et du Sud équatorial, menant des côtes africaines aux terres de l'Outre-Atlantique et du Pacifique américain. Ces civilisations maritimes se révèlent aujourd'hui, des deux côtés de l'océan, à travers des réseaux...
L'auteur dans cette anthologie recense méthodiquement plus d'un siècle de poésie égyptienne de langue française. La plupart des poètes évoqués appartiennent à des milieux cosmopolites, et leur ancrage égyptien s'enrichit de multiples apports qui témoignent de l'extraordinaire ouverture culturelle dont l'Egypte a fait preuve jusqu'aux événements de 1956. L'Egypte connaît en effet une étonnante activité littéraire que peut expliquer le brassage des origines, des religions, des sensibilités dont se réclament en particulier de nombreux poètes.
Procédant par analyse de moments ou d’œuvres-clé, cet essai met en lumière la portée critique du jazz : critique esthétique des formes littéraires et musicales installées mais critique sociale aussi, dans la mesure où ces musiques sont portées par des gens qui, par leur « manière d’être dans la vie » (Ph. Soupault), incarnent un type de relation au corps, à la loi... alternatif à celui qui a cours dans la France d’après 1918 : ceux qu’Aragon appelait « les nègres de jazz ».Les héros de ce livre sont donc des individus célèbres ou inconnus, intempestifs ou attendus, écrivains ou musiciens : Michel Leiris et Vance Lowry, René Crevel et Eugene McCown, Cocteau et Dan Parrish, Maurice Sachs et Snakehips, Shakespeare, Céline, Louis Armstrong, Georges Perec, Mac Orlan, Alain-René Lesage, Paul Whiteman, Pierre Reverdy, Mazie Mullins, Duke Ellington, Jean Vilar, Johnny Hudgins, Beckett ou Bechet.
Juliette est recrutée comme aide-soignante dans une maison de retraite très particulière, réservée aux aînés les plus fortunés. La somptueuse résidence est située à l’intérieur d’un vieux château, qu’on disait autrefois hanté. Aujourd’hui encore, il s’y passe de drôles de choses, telles que des disparitions subites et inexpliquées, qui pourtant n’inquiètent personne. D’abord éblouie par ce lieu magique, Juliette découvre peu à peu la face sombre du château. Malheureusement, son destin ne repose que sur la vieille dame du 3ème étage, qui ne parle à personne depuis des années. Seul le récit de son passé pourrait sauver Juliette... Mais y parviendra-t-elle ?
Une bouleversante histoire de résilience qu'on lit le cœur battant dans l'espoir que son héroïne s'en sorte. Valentine vit dans une petite résidence d'une ville de province. Elle travaille à temps partiel au rayon librairie d'une grande surface culturelle. Les livres sont sa seule évasion ; son seul exutoire, le journal intime qu'elle cache dans le coffre à jouets de son fils. Et son seul bonheur, cet enfant, Nathan, qui vient de souffler ses six bougies. Pour le reste, Valentine vit dans la terreur qu'au moindre faux pas, la colère et la jalousie de son mari se reportent sur Nathan... L'arrivée d'un couple de voisins âgés dans l'appartement d'en face va complètement bouleverser sa vision du monde. Car comment résister à la bonté de Guy, qui se conduit avec Nathan comme le grand-père qu'il n'a jamais eu ? Comment refuser la tendresse de Suzette, cette femme si maternelle, elle qui a tant manqué de mère ? Peu à peu, Valentine se laisse apprivoiser. Jusqu'au jour où elle commet une minuscule imprudence aux conséquences dramatiques... Mais une chose change tout, désormais : elle n'est plus seule pour affronter son bourreau et reconstruire sa vie volée.
Quand l’amour redonne vie et espoir à des âmes cabossées… Printemps 2019, un cimetière parisien. Rebecca a pris l’habitude de venir fleurir des tombes à l’abandon. Benjamin, lui, vient assister à l’enterrement d’un inconnu. Quand le hasard les met sur la route l’un de l’autre, le rapprochement se fait avec douceur et prudence, chacun prisonnier de sa propre souffrance. Les secrets du passé sont parfois lourds à dévoiler, et ceux de Rebecca font osciller Benjamin entre amour fou et inquiétude sourde. Et comment séduire une femme alors que l’on porte en soi une lourde culpabilité ? Ces deux écorchés vifs vont pourtant apprendre à s’apprivoiser, à baisser les armes, laissant de côté l’ombre pour la lumière… Un roman bouleversant, une plume hypnotisante
Ces quelque cent soixante-dix lettres sont la chronique d'une amitié passionnée puis violemment rompue, en même temps qu'elles jalonnent un moment essentiel de la modernité du XXe siècle. Un premier ensemble réunit les lettres de 1918-1919, écrites du front, puis d'Alsace et de Sarre après l'armistice : médecin-auxiliaire jeté en première ligne, Aragon a vécu de près la tuerie mondiale, naufrage d'une civilisation d'où naît la révolte Dada. Ensuite affleure l'histoire agitée du groupe surréaliste, en particulier son entrée dans l'action politique en 1925. Enfin le "Congrès de Kharkov" de 1930 va sceller l'adhésion d'Aragon au communisme, et provoquer à terme sa rupture avec Breton. Tant de noms au fil des pages témoignent d'une amitié née sous le signe de la littérature, et bientôt de sa critique radicale : Rimbaud puis Lautréamont, intercesseurs essentiels ; Gide et Valéry, tôt délaissés ; Apollinaire (sous un jour inattendu), Reverdy, "l'ange offensé" ; Soupault, le premier compagnon, puis Eluard, Desnos ; et les alliés incommodes Tzara, Picabia... Précieuses enfin sont les lettres où Aragon commente son esthétique, l'écriture du poème...
In this novel the characters become puppets in the hands of fate.
Tout allait bien jusqu'à ce que j'apprenne que je venais d'un autre monde et qu'on voulait me tuer. Ça surprend, pas vrai ? D'accord, j'adore les séries d'aventures et de magie. Mais entre les regarder bien installée sur mon canapé et les vivre en personne, il y a une sacrée différence ! Si je préfère de loin la première option, les hommes armés d'épées qui ont déboulé sur mon lieu de travail ne semblaient pas du même avis. Ils voulaient ma peau, et ça, à n'importe quel prix. Me réfugier chez mon père m'avait paru une bonne solution sur le moment, jusqu'à ce qu'il m'avoue m'avoir menti toute ma vie et qu'il me pousse à fuir avec un inconnu sorti de nulle part. L'idée du siècle ! C'était donc escortée de mon nouveau garde du corps personnel que j'avais rejoint Hirendia, mon monde natal pour y découvrir que j'étais la seule à pouvoir vaincre le mal qui s'y trouvait. Mais allais-je y parvenir avant que celui-ci vienne m'éliminer ? Plongez dans des royaumes spectaculaires et venez faire la rencontre de personnages extraordinaires. Découvrez le pouvoir, le danger et le destin. Entre aventures, magie, découvertes et humour, l'autrice vous embarque avec...
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