
La liste exhaustive des ouvrages disponibles publiés en langue française dans le monde. La liste des éditeurs et la liste des collections de langue française.
Carnac et sa région constituent le sommet de l'art mégalithique, à la fois par le caractère grandiose des monuments et par leur profusion. Selon l'auteur, on peut les considérer comme le centre le plus sacré du néolithique.
Les périples imaginaires vers le Paradis terrestre sont un scénario récurrent de la littérature du Moyen Age. Ce livre les envisage dans le cadre plus large du thème de la quête manquée de l'immortalité, du voyage initiatique qui ne peut pas aboutir. L'auteur ne nous livre pas seulement une histoire des croyances mais nous invite à pénétrer dans les arcanes des grandes constructions du sens de la vie, que les religions, les littératures et même les mythes politiques ne cessent d'activer ou de combattre.
Dans toute civilisation, le " centre " est le fondement du sanctuaire. Tout plan a certes pour base la géométrie. Toutefois, l'image du monde n'est pas dans ce point idéal tracé au compas. S'il séduit ceux qui tiennent à donner une expression graphique aux nombres, les rêveurs cherchent ailleurs un cœur. Analysant de nombreux édifices sacrés à travers le monde (pyramides, temples, églises médiévales), Myriam Philibert montre que le cercle suppose des extensions, un sommet comme axe vertical et la magie du plan comme développement horizontal. Le carré et ses dérivés lui donnent alors une concrétisation. Ces édifices se lancent à l'assaut du ciel, centres manifestes ou révélés. Mais encore... L'île, intemporelle et vague, la grotte des origines à l'obscurité propice, la montagne sainte et altière, ou la triple enceinte refermée sur un oppressant secret, toutes ces images du monde peuvent prétendre au titre de centre. Certains existent vraiment : Borodur, Jérusalem, Machu Picchu, Babylone, Rome, Pékin ou Delphes. D'autres ne se révèlent qu'aux yeux de l'esprit, en quête de quelque Atlantide ou Graal, fixés sur un autel de sable balayé par le...
Essai sur le symbolisme architectural et initiatique du Tarot Le Tarot est un jeu. Jeu de cartes et jeu symbolique dont l'enjeu n'est autre que la Connaissance et l'Amour. A ce jeu-là, le Tarot est un temple pour qui le contemple, pour qui médite ses images symboliques et leur ordonnancement. Le Tarot est une étoile pour qui le considère sur le chemin de la lumière, une initiation aux mystères du petit et du grand Oeuvre alchimiques. Les images symboliques du Tarot " parlent " de cet espace sacré où le Ciel et la Terre se rencontrent, où l'esprit et le corps se touchent, où la Nature et l'Etre s'épousent. La clé de voûte, la pierre rejetée par les bâtisseurs de l'édifice sacré que construit la géométrie du Tarot, a pour symbole le nombre Six. Six est le nombre de la Création. Six est aussi le nombre de la lame qui a pour nom L'Amoureux. Le secret de L'Amoureux est le Désir, le " désir de créer ". La vraie liberté de l'homme est de créer. Le Tarot est le lieu où rêver la Vie, où réinventer sa vie et l'enchanter. L'intuition de Jean Carteret était juste : " Le Tarot est l'architecture d'un poème du monde. " Hubert Dufresne la reprend, la démontre et...
À travers ces romans, assez représentatifs de la poétique de ces deux écrivains majeurs de l'univers francophone, se dégage un souffle littéraire qui, tout en revendiquant l'ancrage aux sources, crée une rupture tant sur le fond que sur la forme. Ils y parviennent par le biais d'un jeu sur la thématique et sur l'écriture. Ces composantes permettent de revisiter l'héritage aristotélicien tout en y insérant, avec subtilité, la flexibilité dont se réclame la modernité.
Voyage initiatique Pour qui voyage sur l'autoroute du soleil. Vézelay n'est bien souvent qu'un nom sur une carte, niais, pour celui qui ose le détour, quelle récompense que la découverte (le la .Madeleine, dominant le magnifique village sur sa colline ! L'extérieur est modeste, mais l'intérieur... Les jeux de lumière sur les espaces parfaitement agencés, l'impression d'être transporté dans tin autre monde, étreignent le visiteur et, partout, d'extraordinaires pierres sculptées l'interpellent. La beauté et l'élévation du lieu n'ont pas échappé aux spécialistes et l'ensemble, colline et basilique, a été inscrit au patrimoine de l'humanité par l'UNESCO en 1979. Toutefois, le visiteur ne peut manquer de se poser des questions : Pourquoi un tel édifice en cet endroit ? A quelle logique répond son agencement Quelle est la signification de ses dizaines de sculptures ? Pour tenter d'y répondre, cet ouvrage convie son lecteur à un voyage, à un pèlerinage, comme il y en eut tant à la basilique, à la tris but et simple étape sur le chemin de Compostelle. Les imagiers médiévaux, avaient des messages à transmettre à celui qui passait et l'auteur nous en offre...
Ces mythes qui ont forgé et façonné les grandes civilisations La Tour de Babel et les cités de Sodome et de Gomorrhe ont réellement existé mais où et que furent-elles réellement ? Les Égyptiens avaient-ils atteint l’Afrique australe ? Où pouvait se situer le Jardin d’Eden ? La découverte du lointain Occident, le passage des fameuses Colonnes d’Hercule, la recherche de l’Ultima Thulé, furent la grande affaire des Grecs et des Phéniciens, découvreurs de la Baltique, des îles du Nord ou des Canaries. L’Atlantide aurait-elle sombré ailleurs que dans l’imagination de Platon ? Sur quelles mers erra Ulysse ? Où était la Toison d’Or ? Que dire enfin de la lointaine Asie ? Patries du merveilleux, les Indes – plus tard la Chine – restèrent longtemps inconnues des Européens... Quant aux hommes eux-mêmes, qu’ils soient marins, commerçants, conquérants, missionnaires, moines défiant l’Atlantique nord ou les steppes d’Asie, vikings, premiers découvreurs du Vinland ou encore Portugais à la recherche du Prêtre Jean, tous furent de véritables aventuriers. Des lieux improbables hantés de géants, de monstres, de peuples fantasmatiques, les...
Dans les Alpes-de-Haute-Provence, sur la route de Saint-Geniez, un mystérieux rocher gravé fait mention de Théopolis, cité fondée au Ve siècle en référence à la Cité de Dieu augustinienne, et dont l’existence, la taille et la localisation ont fait l’objet de nombreuses spéculations. Mais plus que la cité elle-même, la figure de son fondateur, Dardanus, fascine les historiens et excite depuis longtemps les imaginations, son existence étant très peu documentée. Qui était ce Romain qui vécut dans les derniers temps troublés de l’Empire, parvint aux plus hautes fonctions et qui, à la suite de sa conversion au christianisme, se retira dans les Alpes, où il fonda la fameuse Théopolis, dont les siècles ont effacé toute trace, à l’exception de la Pierre écrite ? À travers ce récit romancé en forme de journal intime, Jean-Robert Pitte tente de lever le voile sur le mystère qui continue de planer sur cette cité et nous livre sa version de l’histoire de Claudius Posthumus Dardanus, préfet du prétoire des Gaules à la destinée étonnante.
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