
Séances générales tenues en ... par la Société française pour la conservation des monuments historiques
Sandro Botticelli (Alessandro di Mariano Filipepi) (Florence, 1445 – 1510) Botticelli était le fils d'un citoyen jouissant d'une situation confortable, et avait été «instruit dans toutes les choses que les enfants doivent habituellement savoir avant de choisir une vocation ». Mais il refusa de consacrer son attention à la lecture, l'écriture et le calcul, poursuit Vasari, de sorte que son père, désespérant de le voir un jour à l'école, le plaça en apprentissage auprès de l'orfèvre Botticello, d'où le nom qui est passé à la postérité. Mais Sandro, jeune garçon à l'air entêté, doté de grands yeux calmes et scrutateurs et d'une tignasse blonde – il s'est représenté lui-même sur le côté gauche de L'Adoration des Mages – voulait bien devenir peintre, et il fut donc placé auprès du moine carmélite Fra Filippo Lippi. Comme de nombreux artistes de son temps, satisfait de la joie que lui procurait la peinture, il se tourna vers l'étude de la beauté et du caractère de l'homme, plutôt que vers les thèmes religieux. Ainsi, Sandro fit des progrès rapides, aimant son professeur et, plus tard, le fils de celui-ci, Filippino Lippi, auquel il apprit à...
Nous avons fait remarquer que l’historiographie mérovingienne et l’historiographie carolingienne semblent doublement reliées l’une à l’autre, d’un côté par les continuateurs de Frédégaire qui ajoutent à une compilation burgonde une chronique composée en l’honneur des Carolingiens, d’après le modèle des chroniques mérovingiennes ; de l’autre par les Annales, qui forment une famille d’écrits historiques d’un caractère particulier et dont les origines remontent aux premières années du VIIIe siècle, c’est-à-dire à une époque où les Mérovingiens sont encore nominalement les maîtres du royaume franc. Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
3. Que la santé est nécessaire à nos affaires et à notre bonheur, et que pour faire quelque figure dans le monde, nous ne pouvons nous passer d’un tempérament vigoureux, qui résiste au travail et à la fatigue : c’est un point évident, où la preuve est inutile. 4. En parlant ici de la santé, mon dessein n’est pas de dire comment un médecin oigner doit son enfant malade ou débile : je veux seulement indiquer ce que, sans recourir à la médecine, les parents ont à faire pour conserver et développer chez leurs enfants une constitution saine ou tout au moins exempte de maladie. Fruit d’une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.
"L'histoire de la musique est aussi celle de son enseignement. Précis, documenté, cet ouvrage écrit par une jeune musicienne claveciniste et pédagogue interroge autour de sa pratique ce qu'elle perçoit comme les nouveaux enjeux d'une formation dans l'espace médian du spéculatif et du faire". Un ouvrage qui témoigne de l'évolution considérable du rapport qu'entretient "l'ars musica" avec la société.