
Apprenez le coréen facilement et rapidement ! Ce livre n'est pas un manuel ni une grammaire au sens classique du terme. Il s'agit d'un ouvrage de référence pour découvrir la langue coréenne, approfondir vos connaissances ou vous remettre à la pratique du coréen. Il vous accompagnera de façon utile et agréable et vous aidera à vous familiariser avec une langue parlée par plus de 80 millions de personnes en Corée.
Une jeune novice retrouvée morte dans un couvent réputé. Des fards empoisonnés qui viseraient une célèbre dame de la cour... Une enquête au parfum de scandale menée avec le flair d'une exquise parfumeuse au cœur du Paris du XVIIIe siècle. 1751. Dans le très respectable couvent de l'Assomption, celui-là même qui abrite la fille de la marquise de Pompadour, une jeune novice est retrouvée morte. Une sœur affirme avoir vu des traces de sang sur le socle d'un chandelier. S'agirait-il d'un meurtre ? On a vite fait d'interner l'indiscrète à la Salpêtrière... Depuis sa boutique le Bouquet de Senteurs, la jolie Manon Vérité suit l'affaire en voisine, jusqu'au jour où elle découvre avec effroi que ses fards ont été empoisonnés. La Pompadour, sa meilleure cliente et la favorite du roi, serait-elle visée ? De la rue Saint-Honoré au sublime château de Bellevue, des coulisses de Versailles au sinistre hospice de la Salpêtrière, bruissent rumeurs et complots. Aussi Manon décide-t-elle de mener l'enquête – au parfum de scandale – avec son flair d'exquise parfumeuse...
La nouvelle édition du coréen pour les Nuls ! Des bases de la prononciation, au déchiffrage des caractères coréens et au vocabulaire nécessaire pour sortir en ville, de la grammaire aux indications nécessaires en cas d'urgence en passant par tous les termes essentiels à connaître si vous souhaitez aller au restaurant, apprendre le coréen ne sera plus une corvée !
Gérard Prétrot est né en 1932, à Sissonne dans l’Aisne. Passionné de généalogie, il retrouve un jour, sur un grimoire, la trace d’un bateau de migrants (le Saint-Nicolas de Nantes) où figurait l’engagement d’un certain Jean Prestrot « meunier-défricheur ». Il n’en fallait pas plus pour lancer Gérard Prétrot sur la piste d’un ancêtre parti chercher fortune dans la vallée du Saint-Laurent et s’y établir. La piste de Jean Prestrot, dit « la Violette », commence par un contrat passé le 14 avril 1653 avec M. de la Dauversière, représentant le gouverneur de la colonie, et M. de Maisonneuve fondateur de Montréal. Cette passion déboucha sur dix ans de recherches dans les archives picardes et dans la bibliographie traitant de cette immigration. C’est le fruit de ce travail que nous retraçons ici.
Dans la vie, il y a les bons et les méchants, et il y a les autres. Baptiste Dupré est un homme atypique. Les codes classiques de la morale ne lui inspirent rien, il est libre et affranchi, c’est un joueur. Rien ne le définit mieux que le jeu, l’adrénaline, le coup de poker qui vient rompre l’équilibre fragile d’une partie. Ne craignant ni le hasard ni la concurrence, sa confiance lui a rapidement permis de venir à bout de tous les obstacles dressés sur son chemin. C’est ainsi qu’il a construit sa carrière d’avocat et gagné le cœur de sa femme. Mais après quelques années, Baptiste finit par s’ennuyer ferme. Les jours qui se succèdent lui semblent devenus ternes et répétitifs. Jusqu’au soir où il croise enfin un adversaire à sa mesure. Et qu’il se lance dans un pari terriblement risqué... Dernière Donne est le premier roman de l’auteur du Club des incorrigibles optimistes et de La Vie rêvée d’Ernesto G. Un roman noir implacable inspiré, en partie, de faits réels. Nouvelle édition. Prix Michel-Lebrun du roman policier.
"Comme j'entrais, une averse éclaboussa la cour où les arbres perdaient leurs feuilles et chassa tout le monde sous un étroit préau : "Le nouveau ! le nouveau !". On sautillait, on se bousculait autour de moi, on me tiraillait de questions. Une question qui revenait sans cesse m'embarrassait : "Et toi, qu'est-ce que tu as ?" Je n'avais rien, j'en étais confus. Une cloche sonna et, comme j'étais le dernier à rejoindre les rangs, la cour devint immense." C'est ainsi que Luc Dietrich évoque son enfance malheureuseu dans Le bonheur des tristes, son grand roman paru en 1935, salué par Max Jacob, Paul Eluard, Jean Giono. Né en 1913, Dietrich passe sa jeunesse dans des foyers, loin de ses parents rongés par la drogue. Orphelin très tôt, solitaire, il se réfugie dans la poésie. Il est tour à tour garçon de ferme, coursier, commis et, dans le Paris interlope dans années 1930, il fréquente la pègre, mais aussi l'aristocratie et les milieux littéraires. Il se fait entretenir par des femmes, multiplie les conquêtes, cherche l'amour. Jusqu'au jour où apparaît Lanza del Vasto, le futur fondateur de l'Arche. Cette rencontre le révèle à lui-même : il sera écrivain....
Rachel est en voyage à travers l'Europe avec son amie Charlize, et pendant son absence, beaucoup de nouvelles personnes arrivent dans sa chère ville natale. Alors qu'elle attend avec impatience de rentrer et de retrouver les siens, elle n'imagine pas les nombreux événements qui vont chambouler sa vie dans les mois à venir. Au milieu des joies et des peines qu'elle va rencontrer, Rachel s'apprête à mener de durs combats pour ses idéaux, pour son avenir, et pour sa vie.