Le livre tibétain de la vie et la mort
Auteure: Sogyal Rinpoché
Nombre de pages: 603Rédaction : Patrick Gaffney et Andrew Harvey
Rédaction : Patrick Gaffney et Andrew Harvey
Oeuvre majeure du bouddhisme tibétain le Bardo-Thödol a ouvert à la psychologie occidentale des perspectives insoupçonnées. Qualifié par Carl Gustav Jung de « quintessence de la psychologie critique bouddhiste », ce classique vise à libérer celui qui l'étudie des illusions de la conscience égocentrique et de son instabilité perpétuelle. « Livre tibétain des morts » lu aux mourants pour les guider sur le chemin ardu qui doit les mener à un autre mode d'existence, il est avant tout un manuel d'exploration des états intermédiaires de conscience, dont la mort est un aspect. Joyau de la sagesse orientale à la portée universelle, le Bardo-Thödol est un outil précieux pour tous ceux qui s'interrogent sur la nature de l'esprit.
Monument de la culture tibétaine, texte clef de la sagesse boudhique, le livre des morts tibétain à toujours fasciné l'Occident. Philosopher, c'est apprendre à mourir, disait chez nous Montaigne. A l'angoisse de la mort, celle des êtres aimés ou la nôtre, la pensée boudhique apporte ici sa réponse, avec une profondeur de vues qui n'empêche pas la plus authentique compassion humaine. Ce texte fondamental mais à bien des égards difficile - est présenté dans une traduction à la fois poétique et précise, accompagnée d'éclaircissements et de commentaires conçus pour un très large public. Proche du Dalaï Lama - qui a préfacé le volume - et, l'un des plus grands spécialistes mondiaux de la culture indo-tibétaine, Robert A. F. Thurman a en outre retrouvé des chapitres oubliés, publiés pour la première fois. Précédée d'une présentation générale du Tibet et du bouddhisme, suivie d'un glossaire des termes indispensables, cette traduction fera date dans la connaissance d'un des monuments de la spiritualité universelle, indispensable à tous ceux qui côtoient la mort dans leur profession, ou qui plus simplement cherchent des réponses à cette question...
Avec la fuite du Dalaï-Lama en mars 1959, commence pour une partie du peuple tibétain un exil forcé qui se perpétue aujourd’hui. Exil où l’Inde occupe d’emblée une place singulière : terre d’accueil du Dalaï-Lama, qui y a installé le siège de son gouvernement en exil, elle est à la fois le pays qui abrite le plus grand nombre de réfugiés tibétains - un peu plus de 100'000 sur 145'000 au total - et le pays où s’est constitué le mouvement nationaliste tibétain de l’exil. Ainsi se pose la question des rapports entre le nationalisme et l’exil chez les réfugiés tibétains en Inde, partant de l’hypothèse classique que l’exil a pour effet d’accentuer le sentiment nationaliste des exilés. À quoi ressemble ce nationalisme ? Quel est l’impact de l’Inde sur le mouvement nationaliste tibétain ? Et comment les réfugiés, à commencer par le premier d’entre eux, le Dalaï-Lama, conçoivent-ils la nation tibétaine ? Celle-ci revêt-elle une forme particulière parce qu’elle se développe en exil ? En Inde ? Telles sont les principales interrogations auxquelles ce livre se propose de répondre.
« Lieu de neige et de genévriers » : Pascale Dollfus a vécu plus de deux ans dans ce village ladakhi au nom poétique situé à 3900 mètres d’altitude. Dans ce livre, elle décrit les sites ainsi que les gestes, les pratiques journalières, et les rites de ces paysans sédentaires bouddhistes qui parlent un dialecte tibétain. Mais au-delà d’une description minutieuse et sensible du quotidien villageois, elle propose une réflexion nouvelle sur les liens de sang et de résidence dans cette partie du monde. À la lumière de l’histoire de cet ancien royaume indépendant et en le comparant avec le Grand Tibet et les communautés tibétophones du Népal, Pascale Dollfus montre le rôle de la notion de « maison » dans le système de parenté et dans la structure sociale, et dépeint la manière dont le bouddhisme « innerve » la société ladakhi. Ce « lieu de neige et de genévriers » n’est pas un lieu isolé. Aux confins de l’Inde et du Tibet, il participe à l’histoire des sociétés himalayennes.
Lu et encensé dans le monde entier, Le livre des morts tibétain fait désormais partie du patrimoine littéraire de l'humanité. Longtemps détourné de son sens véritable et présenté de façon fragmentaire, il est ici, pour la première fois, livré au public sous sa forme complète, directement traduit du tibétain et expliqué dans son contexte originel. Composé par le grand maître Padmasambhava au VIIIe siècle, il traite des mystères les plus profonds de l'existence : le rêve, la méditation, le moment de la mort... Un livre de sagesse, traversé par le souffle de l'esprit qui n'a ni commencement ni fin et pour qui la mort est un instant de vérité, de retour à la lumière fondamentale.
Title on half t.p.: Le livre tibetain des morts.
Texte intégral révisé suivi d'une biographie de Carl Gustav Jung. Écrit en 1939 et publié en postface de l'édition du Livre des morts tibétain du dr. W. Y. Evans-Wentz, ce commentaire de Jung se penche sur le célèbre Bardo-Thodol du bouddhisme tibétain qui traite des états de conscience et des possibilités de libération spirituelle pendant la période de 49 jours symboliques s'étendant entre la mort et la renaissance. Pour le psychanalyste auteur de L'Âme et la Vie, il est évident que ce livre a été "puisé dans les représentations archétypiques de l'inconscient" et que son propos est de dire à l'agonisant, s'il n'a pas compris au cours de sa vie que son âme et le donateur de toutes les données sont une seule et même chose, "qu'il n'y a pas de réalités physiques ou métaphysiques, mais seulement la réalité des données psychiques." [...] "Le monde des dieux et des esprits n'est rien d'autre que l'inconscient collectif en moi. Mais pour inverser cette phrase de telle sorte qu'elle dise: l'inconscient est le monde des dieux et des esprits à l'extérieur de moi, il ne faut aucune acrobatie intellectuelle, mais toute une vie humaine, peut-être même une...
Produire une «musique d'offrande» - Mchod-rol - aussi plaisante que possible, tel est le but assigné aux moines musiciens qui appartiennent aux différentes traditions religieuses du monde tibétain. Pour y parvenir, ils associent à la voix chantée le tintement des clochettes, les cliquetis des petits tambours à boules fouettantes, le son tonitruant des grands tambours, le scintillement des cymbales auxquels se superposent, selon les circonstances, la plainte des conques ou des trompes courtes, le « barrissement » des longues trompes, l'éclat des hautbois. • D'où viennent ces instruments divers ? • Quels sont leurs caractères organologiques et leurs propriétés acoustiques ? • Quel valeur symbolique leur reconnaît-on ? • Quel rôle jouent-ils dans le puzzle sonore qui résulte de leurs combinaisons ? Telles sont quelques-unes des questions traitées par l'auteur qui s'appuie sur le témoignage de maîtres religieux éminents, les traditions écrites tibétaines, l'iconographie et surtout son observation au long des vingt dernières années des rituels bouddhiques et bonpos.
Les incertitudes de notre temps bousculent les horizons de l'attente, tels qu'une modernité conquérante et qu'un régime classique de la croyance chrétienne les avaient structurés, pour longtemps et dans la polémique. Nous assistons en effet à des ré-âménagements des manières de concevoir et de vivre les rapports entre vie et mort, corps et esprit, temps et éternité, histoire et cosmos, espoir individuel et eschatologie collective qui opèrent des synthèses inédites - des syncrétismes ? - entre des bribes de traditions religieuses et métaphysiques d'une part et de segments de culture scientifique d'autre part. La tâche théologique est dès lors soumise à un double défi : réinterroger sa propre tradition et évaluer, sans complaisance ni crispation, la montée des ésotérismes, dans l'espoir de restituer sa force de percussion à la dimension eschatologique propre à la foi chrétienne quand elle confesse, à partir de l'événement pascal, l'attente de la résurrection des morts et du monde à venir. Ce travail, la session théologique 1988 de l'École des Sciences Philosophiques et Religieuses des FUSL a voulu y contribuer selon son style propre :...
Quand la notion d’intertextualité est apparue à la fin des années 1960, elle s’inscrivait dans une « théorie du texte » insistant sur la « productivité » de l’écriture et la signifiance comme « procès ». Instituée en catégorie générale par ses promoteurs, elle ne prétendait pas constituer un instrument critique, mais participait d’un projet philosophique. Plus tard, quand l’intertexte a commencé à faire l’objet de descriptions dans une visée poéticienne, la critique littéraire y a gagné des concepts opératoires ; elle y a peut-être perdu les perspectives générales que la théorie du texte cherchait à imposer. En se proposant de travailler sur trois mots – reprise, répétition, réécriture – les comparatistes ont voulu relancer l’intérêt pour l’intertextualité en ce début de XXIe siècle où cette notion, employée dans un contexte très éloigné de celui où elle a vu le jour, semble avoir perdu de son pouvoir de questionnement. Or toute étude comparatiste la convoque nécessairement, même si cela reste implicite, au point qu’on oublie de s’interroger sur son sens. Combien d’études de source ou d’influence se...
« Faire du cinéma, c’est faire se promener des fantômes sur un drap blanc », disait Jean Douchet, maître à penser de Xavier Beauvois dont le film Albatros met en scène Jérémie Rénier, Marie-Julie Maille, Victor Belmondo et Iris Bry aux côtés de gendarmes et d’agriculteurs normands jouant leur propre rôle. Dominique Thiéry et Catel Muller ont pu assister au tournage avec le désir de raconter ce moment de cinéma, ses protagonistes et son décor, la Côte d’Albâtre. Cette envie a donné naissance à une nouvelle forme de livre de tournage, un monde hors champ, qui emmène le lecteur regarder derrière le drap.
Aujourd’hui, au Tibet, de nombreuses femmes entrent encore au monastère pour s’adonner à la pratique des enseignements du Bouddha. Quelles raisons les poussent à rompre avec les devoirs d’alliance et d’enfantement imposés aux femmes par cette société ? Quels espoirs les amènent à faire ce choix ? À partir d’une recherche ethnologique menée dans deux monastères, l’un situé au Tibet et l’autre en Inde, cet ouvrage décrit et analyse la façon dont les nonnes envisagent, construisent et organisent leur vie communautaire. Il rend compte des changements importants qui caractérisent le monachisme féminin, notamment depuis le renouveau religieux des années 1980. À travers les thèmes du genre, de la maladie, de la parenté et des défis lancés par les mutations contemporaines, c’est toute la société tibétaine actuelle qui apparaît en filigrane.
La Grande Paix de l’Esprit retrace le chemin spirituel dans son intégralité, depuis les notions d’éthique, qui forment le socle commun à toutes les religions et à tous les hommes épris d’humanisme, jusqu’aux enseignements les plus élevés du Dzogchen, en passant par la philosophie bouddhiste fondamentale qu’est la compassion. Invité en 2000 à Lérab Ling, dans le Languedoc, le Dalaï-Lama a livré les principes clés du bouddhisme devant une assistance de dix mille personnes. Imprégné de l’ambiance chaleureuse de l’événement, ce livre d’une grande fluidité, directement issu de la transmission orale du bouddhisme tibétain, offre au lecteur une dimension inédite de l’esprit du Dalaï-Lama, en même temps qu’il lui propose une vision panoramique de l’enseignement du Bouddha.
Dagpo Rimpotché est né au Tibet en 1932 dans une famille noble, apparentée au treizième dalaï-lama. Il nous conte ici ce qu'a été son parcours, depuis le Tibet de son enfance jusqu'au Paris des années 90. Avant même de savoir lire et écrire, Dagpo Rimpotché est reconnu Tulku, corps manifesté : il est la réincarnation de l'un des grands maîtres de l'époque contemporaine. Dès sa prime enfance, Dagpo Rimpotché est choyé, vénéré, écouté. Jusqu'à vingt-sept ans, il vit dans les monastères, où il reçoit un enseignement secret, et qu'on découvre ici pour la première fois : mémorisation des grands textes du bouddhisme, au mot près ; stricte discipline de vie ; nuits de trois à quatre heures ; joutes rhétoriques de haut niveau ; intenses pratiques spirituelles. Mais à vingt-huit ans, Dagpo Rimpotché fuit la répression chinoise et devient professeur de tibétain à la Sorbonne et à l'Inalco, où il enseigne jusqu'à sa retraite, en 1992. Parallèlement, Dagpo Rimpotché fonde, à la demande du Dalaï-Lama, un important centre bouddhique, non loin de Paris, le centre Guépèle, qui rayonne aujourd'hui dans toute l'Europe. Cet homme tranquille, admiré...
Donne des conseils pratiques sur la meilleure manière d'aborder sa propre mort. Explique comment éliminer la peur et maîtriser son destin grâce à la concentration mentale : hiérarchiser les vraies priorités, accéder à la sérénité, à la paix intérieure et à la sagesse. Une vie sereine passée dans la méditation facilite la mort et donc l'incarnation.
"'La faim de l’argent n’est jamais chez un homme que le signe, l’apparence d’une autre faim : l’amour de l’argent n’est jamais que le signe d’une autre exigence. Faim de puissance, de dépassement, de certitude, amour de soi-même que l’on veut sauver, du surhomme, de survie et d’éternité. Et quel moyen meilleur que la richesse pour atteindre jusque-là ? Dans cette recherche hallucinée, haletante, ce n’est pas seulement la jouissance que cherche l’homme, mais l’éternité, obscurément.' En 1989, cinq années avant la mort de Jacques Ellul, la chute du mur de Berlin a brusquement libéré le système capitaliste de la nécessité qui l’avait obligé après-guerre à respecter certaines normes de décence. Partout dans le monde, l’homme s’est retrouvé seul face à la puissance de l’argent. À cet instant, les analyses de Jacques Ellul sur l’exploitation des richesses de la planète et leur distribution inéquitable sont apparues plus prophétiques que jamais. Mais attention. Dans la tradition biblique, le prophète n’est pas celui qui prédit l’avenir. C’est un homme d’intimité avec Dieu qui sait L’écouter et qui voit. Et Jacques ...
New York, avril 2003. Phakyab Rinpoché souffre de gangrène au pied droit et dans le service des survivants de la torture où il est hospitalisé, les médecins préconisent une amputation immédiate. Une voix intérieure lui intime de la refuser malgré son pronostic vital engagé et le Dalaï-lama l'encourage à chercher en lui-même la guérison. Après avoir subi la torture dans son pays occupé, l'abbé tibétain Phakyab Rinpoché se réfugie à New York en avril 2003. Il est hospitalisé d'urgence pour une gangrène sévère au pied droit. Alors que les médecins préconisent une amputation immédiate, il reçoit du dalaï-lama ce message : " Pourquoi cherches-tu la guérison à l'extérieur de toi ? Tu as en toi la sagesse qui guérit et une fois guéri tu enseigneras au monde comment guérir. " Dans un petit studio de Brooklyn, Rinpoché médite pendant trois ans sur l'amour inconditionnel et les yogas secrets de l'énergie interne dont il reçut l'initiation à 16 ans. Il repousse l'infection et reconstruit les os de sa cheville, ce que seule une greffe osseuse permet normalement. Le docteur Lionel Coudron, après étude du dossier médical, qualifie cette double...
Dans La Vie après la mort DEEPAK CHOPRA se fonde en partie sur les récits des NDE (Near-Death Experiences), à savoir les expériences de mort imminente, témoignages étonnants qui se comptent par milliers chaque année. En tant que médecin et biologiste, l'auteur s'appuie également sur les recherches à la pointe de la science et sur les traditions orientales imprégnées de bon sens et de sagesse. Un livre clé dont la logique, l'extrême variété des exemples cités, la volonté de démythifier et de donner des clés de réflexion, ont été saluées unanimement par la critique. Une magistrale leçon d'espoir qui remet totalement en question la pensée matérialiste et donne au " pari " de Pascal, un souffle prophétique sur ce que sera notre futur.
"Un certain nombre de voies de traverse conduisent à une version distordue, égocentrique, de la vie spirituelle. Nous pouvons nous illusionner en pensant que nous nous développons spirituellement, alors qu'en fait nous usons de techniques spirituelles pour renforcer notre ego. Cette distorsion fondamentale mérite le nom de matérialisme spirituel". Ces enseignements ont fait connaître Chögyam Trungpa à l'Occident. Ils n'ont rien perdu de leur force d'attaque et de leur clarté clans l'exposition des principes de la voie bouddhiste. Le style pédagogique de l'auteur, inimitable et emprunt d'humour, a révolutionné la transmission du dharma.
Un improbable concours de circonstances désigne Léo, jeune trentenaire un peu paumé, comme la réincarnation d'un grand maître bouddhiste. Ce joli conte des temps modernes revisite avec finesse et humour la spiritualité bouddhiste : chacun peut choisir qui il est et réveiller le bouddha qui sommeille en lui... Bien malin celui qui aurait pu prédire que Léo Brillant revêtirait un jour l'habit de Bouddha... C'était sans compter sur un joli coup du sort, orchestré par Tenzin Lobsang Rimpoché, grand maître tibétain officiant dans un monastère bouddhiste de Bourgogne. Avant de mourir, pressentant que son heure a sonné, Tenzin réunit sa confrérie pour leur annoncer qu'il reviendra en tant que 8e et dernière réincarnation de bouddha dans 33 ans, 3 mois et 3 jours précisément, et que ce jour-là, il franchira de nouveau les portes du monastère. Trente-trois ans plus tard, on retrouve Léo, un adulescent paumé de 30 ans qui est retourné vivre chez sa mère en Bourgogne après avoir été licencié – pour la troisième fois consécutive – et largué par sa copine. Bloqué dans le passé depuis que son père est mort quand il avait 14 ans, il passe ses journées...
« Ce livre me donne un grand espoir pour l'avenir, car il montre comment les enseignements du Bouddha peuvent être traduits et enseignés de façon à la fois parfaitement authentique et complètement en phase avec notre temps. » (Sogyal Rinpoché, auteur du Livre tibétain de la vie et de la mort.) S'il est de mieux en mieux connu en Occident, le bouddhisme reste difficile à cerner. Est-ce une religion, une philosophie, une sagesse ? On découvrira plutôt ici un chemin qui passe par l'expérience personnelle et directe et qui nous aide à vivre plus pleinement. À rebours des ouvrages qui proposent de nous faire entrer dans le bouddhisme par la théorie, mais aussi des manuels qui prétendent nous livrer de pures « techniques » de méditation détachées de tout contexte, Olivier Raurich, étudiant et interprète personnel de Sogyal Rinpoché, nous invite à vivre directement et simplement l'expérience du bouddhisme. L'ouvrage, qui s'articule autour d'exercices guidés de méditation, nous ouvre aux notions cardinales du bouddhisme comme l'interdépendance, le lâcher-prise et la compassion. Facile d'accès, dépouillé de tout dogmatisme, La Voie du bouddhisme au fil des ...
Le livre des morts tibétain ou Bardo Thödol est l'un des plus grands textes spirituels de la culture mondiale. Plus qu'un livre de sagesse, il s'agit d'un véritable guide de l'après-vie qui décrit les étapes que traverse la conscience, de la mort à sa future réincarnation. Accompagné des commentaires d'experts des philosophies orientales, et notamment ceux de Carl Gustav Jung, Le livre des morts tibétain nous éclaire sur l'un des plus grands mystères de la vie : la mort.
L’abondance des sources qu’offre l’Asie du Sud - à la fois textuelles, historiques et ethnographiques - au croisement et à l’interaction du médical et du religieux, rend difficile l’analyse que ce volume se propose d’accomplir. En fait, la porosité des frontières entre les domaines nous oblige à questionner les outils mêmes de notre enquête. Si l’objectif est de focaliser l’attention sur les recoupements entre soins et cultes, remèdes et rituels, thérapeutes et officiants, le risque encouru est celui de dissoudre et de confondre les deux domaines, en traitant tout acte thérapeutique de religieux, et tout acte religieux de thérapeutique. Ce gommage ferait disparaître la raison d’être de ce volume, qui consiste à étudier les articulations, les jointures, et parfois les frictions, entre le médical et le religieux. Toutefois, une définition des termes « médecine » et « religion » n’entre pas dans le propos de cet ouvrage. La notion abstraite de « religion » est une construction conceptuelle récente, liée à l’émergence des États modernes et à l’expansion européenne, et n’a pas d’équivalent dans la plupart des langues...
"Ce livre est simple, profond, érudit, touchant. C'est un ouvrage magistral qui réussit à réconcilier la vie et la mort ou plutôt à nous montrer que les naissances et les morts sont le jeu même de la vie. " Arnaud Desjardins "Ce livre est une magistrale "distillation " de la sagesse du bouddhisme tibétain à l'usage de l'Occident, qui y trouvera des instructions pratiques et des conseils spirituels pour vivre dans la lumière du plus grand de tous les maîtres : la mort. Nous l'attendions depuis quelques années et Sogyal Rinpoché va au-delà de nos espérances. Il a écrit ici, sur ces enseignements, le livre définitif de notre temps. " Kenneth Ring
Ce second tome de Shabkar, traduit par Matthieu Ricard et Carisse Busquet, nous permet de retrouver le maître tibétain dont la vie constitue sans doute la biographie la plus célèbre après celle de Milarépa. Comme l'auteur des Cent Mille Chants, mais beaucoup plus proche de nous dans le temps, Shabkar (1781-1851) - surnommé le "Barde du Pays des Neiges", est révéré par le peuple tibétain pour sa sainteté et sa simplicité, sa faculté d'émouvoir aussi bien que de faire rire, la profondeur de sa spiritualité rendue accessible à tous grâce à son style. Après avoir atteint l'ultime degré de l'accomplissement spirituel, Shabkar fut invité par ses disciples à raconter les étapes de son itinéraire mystique. Il s'y appliqua en retraçant son chemin d'errance dans un passionnant récit en prose entrecoupé de chants poétiques. Conseils de morale et de conduite pour la vie quotidienne, hymnes raffinés exposant les fondements de la pratique spirituelle, les chants improvisés par Shabkar illustrent parfaitement l'enseignement bouddhiste sur le sens de la vie humaine, la mort, l'impermanence et la possibilité de se délivrer de la souffrance. Outre sa valeur...
Dans cet ouvrage, unique en son genre, Yongey Mingyour Rinpotché, un grand maître tibétain, révèle les bienfaits réels de la méditation, en établissant un pont entre les enseignements du bouddhisme et les découvertes les plus récentes de la science, et plus particulièrement des neurosciences. L'auteur expose l'essence de cette tradition millénaire de façon entièrement nouvelle et adaptée aux particularités de notre culture moderne. Grâce à de nombreux exemples, il nous dévoile que de simples exercices quotidiens de méditation (au bureau, dans le métro ou même dans la rue !), consistant à laisser aller et venir nos pensées sans y attacher d'importance mais sans les rejeter non plus, peuvent changer notre vision du monde et répondre à nos préoccupations essentielles. Un livre à lire partout et à méditer !
La vie de Shabkar (1781-1851), traduite ici par Matthieu Ricard et Carisse Busquet, est sans doute la biographie la plus célèbre au Tibet après celle de Milarépa. Comme l'auteur des Cent Mille Chants, mais beaucoup plus proche de nous dans le temps, Shabkar est révéré par le peuple tibétain pour sa sainteté et sa simplicité, sa faculté d'émouvoir aussi bien que de faire rire, la profondeur de sa spiritualité exprimée en un style qui la rend accessible à tous. Ayant atteint l'ultime étape de l'accomplissement (dzogchen), Shabkar fut supplié par ses disciples de raconter les étapes de son itinéraire mystique. Il s'y appliqua en retraçant, dans un passionnant récit en prose entrecoupé de chants poétiques, son chemin d'errance. Ayant connu le plus extrême dénuement et la plus grande félicité, cet ermite inspiré prodiguait ses enseignements à tous les êtres qu'il rencontrait, y compris des bandits dangereux ou des animaux sauvages. Son histoire illustre parfaitement l'enseignement bouddhiste sur le sens de la vie humaine, sur la mort, l'impermanence et sur notre possible délivrance vis-à-vis de la souffrance. En un temps où le Tibet était en proie au...
Le présent ouvrage vient combler une lacune dans l’abondante bibliographie d’Ellul : une réflexion profane et critique sur la discipline qu’il a enseignée toute sa vie, le droit. Sceptique à l’égard des théories contradictoires du droit naturel, Ellul nous offre avec ce cours la quintessence d’une analyse qui s’appuie sur la normativité du droit, mais aussi sur son artificialité tant le droit est un élément essentiel de la culture d’une société. Le travail du juriste consiste à rendre le droit compréhensible et acceptable par le citoyen. Le droit devient alors un outil privilégié de médiation et de symbolisation de l’homme dans ses rapports avec le monde, avec la société : il est « le point exact d’assimilation et de différenciation ». C’est le droit qui donne ses caractères à une civilisation.
Depuis l'aube des temps, les être humains cherchent à tirer le meilleur profit de l'existence, mais qu'advient-il quand on meurt ? Quiconque a réfléchi à la mort trouvera des réponses dans ce texte remarquable qui peut se lire comme un guide du bien vivre et du bien agir. Véritable manuel de référence pour l'âme, il constitue une aide irremplaçable pour traverser les cirses et les changements. Cette traduction moderne du Livre des Morts tibétain présente des expériences visionnaires de la mort dans un langage contemporain et clair, afin de communiquer l'essence même de son enseignement, ainsi qu'un commentaire permettant de le mettre en application. D'une importance fondamentale pour comprendre le bouddhisme tibétain, ce livre aide à la méditation et permet d'acquérir une compréhension spirituelle du processus de la vie et de la mort.
En quelques décennies, la méditation laïque a révélé l'étendue de ses bienfaits dans toutes les sphères de notre société moderne (réduction du stress et des affections qui lui sont liées, de la douleur, du vieillissement cellulaire, etc.). Elle fait l'objet de très nombreuses études en neurosciences, en médecine et en psychologie qui ont confirmé ses vertus et observé ses effets sur le cerveau. Cet ouvrage explore en détail les convergences entre la méditation et les différentes avenues de la science moderne. Il nous fait toucher du doigt tout ce que la méditation peut nous apporter, individuellement et collectivement, pour la paix et le bien-être de tous.
Pour mieux comprendre la vie La mort touche le monde entier depuis l'aube de l'humanité, le croyant comme l'athée, le riche comme le pauvre, nul n'y échappe, ce qui est né mourra, car telle est la Loi ! Pourtant l'homme responsable s'est depuis toujours posé la question : peut-on échapper à cette inexorable destinée En fouillant les archives du passé, en comparant le sens de la mort dans les religions, nous avons appréhendé l'essence de la Vie, et forcément son contraire, la mort. L'enseignement des sages, qu'ils soient hindous, bouddhistes, soufis ou kabbalistes, nous a appris les mécanismes précis du processus de l'abandon du corps par l'âme. Cela nous a permis non seulement de répondre à des questions fondamentales comme le coma, l'euthanasie, la réincarnation, la crémation, la bilocation, etc, mais aussi de savoir ce qu'est la vie post mortem et comment nous y préparer, car la mort est une initiation, non une fin. En ce début de troisième millénaire, une étude sérieuse s'imposait en vue de créer un lien entre la science et la religion, et d'apporter dans le coeur de chacun bien plus qu'un espoir, une vérité libératrice, une entrée dans la vie de...
Cette présentation de la méditation de la pleine conscience répond à six objectifs principaux : - vous initier aux différentes pratiques de méditation, - vous apprendre à gérer votre stress, vos émotions et votre souffrance, - développer votre attitude de la pleine conscience dans tous les aspects de votre vie, - vous ouvrir les portes de l'amour et de la bienveillance dans vos différentes relations, - vous aider à décliner la pratique de la méditation en famille, - vous permettre de comprendre le vrai sens de la pleine conscience et parvenir à l'intégrer dans le flot du quotidien. En bref, une initiation simple, concrète et approfondie accompagnée de conseils pour toutes les situations de la vie !
Découvrez ou redécouvrez la pleine conscience et abordez sereinement chaque étape de votre relation et de la vie à deux ! Vous êtes un adepte de la pleine conscience et vous vous demandez comment vous en servir dans votre vie amoureuse ? Vous traversez une période d’hésitations ou de conflits avec votre partenaire et vous cherchez une méthode qui permettra à l’harmonie de régner à nouveau ? Vous trouverez dans ce livre des exercices simples de pleine conscience et des pratiques guidées liées aux différentes situations de la vie relationnelle. Vous y découvrirez également mille et une façons dont la pleine conscience peut vous soutenir et vous orienter dans votre vie de couple. Comment décider ou non de vous engager, comment pratiquer l’écoute empathique, comment vous épanouir sexuellement, comment traverser les crises, etc. : vous saurez vous épanouir avec l’autre en toutes circonstances, et même en cas de séparation ! Bonus : 10 méditations en ligne
Tout autour du globe, la plupart des cultures nous parlent de la possibilité de renaître vie après vie. L'Occident a-t-il écarté trop hâtivement un concept qui pourrait être universel ? Enquête sur un concept loin d'être nouveau et qui pose beaucoup de questions sur le devenir de notre " âme ".