
Une vie de Missionnaire : Mgr Hyacinthe Jalabert
Auteure: Marthe Ponet-bordeaux
Nombre de pages: 300Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Une séquence folle, à jamais inscrite sur toutes les rétines : un champion cycliste bascule sur le bitume du Tour de France en un vol plané fatal. Ce 3 juillet 1994, à Armentières, Laurent Jalabert est devenu un héros. Avec cette image de cauchemar, il a bouleversé le cours de sa carrière et de son existence. Rescapé du pire, il a acquis une renommée où l’affectivité le dispute à l’admiration. "On m’appelle Jaja", ouvrage rédigé avec Jean-Luc Gatellier et Philippe Pailhoriès, est l’autobiographie d’un vrai coureur d’exception, né routier-sprinter, et épanoui comme champion complet. Aussi brillant dans les classiques d’un jour, que dans les grandes épreuves par étapes, Laurent Jalabert reste à jamais celui qui, le 14 juillet 1995, nous fit vibrer dans le Tour de France par un exploit d’anthologie, peu avant de s’imposer comme un grand d’Espagne en enlevant la Vuelta. Le palmarès de Jalabert n’est qu’un monument en voie de réalisation. Dans "On m’appelle Jaja", le n° 1 mondial se met à nu avec franchise et simplicité. Il raconte son apprentissage de la gloire et de la souffrance. Il dévoile les aspects, plus souvent ingrats...
Analyse de quatorze grandes villes, américaines, européennes, méditerranéennes, asiatiques en comparant les mouvements de population et l'évolution économique.
Christian Laborde cette fois choisit l'abécédaire. Et, du A d'Anquetil au Z de Zaaf, du B de Louison Bobet ou de Joséphine Baker au H de Bernard Hinault, du F de Christopher Froome au P de Parasol, du R de Robic au V de Ventoux, et du V de Ventoux à celui de Vodka, le Tour passe en toutes lettres. Le Tour de France de Laborde est un roman d'aventures où le savoir et la saveur se disputent la vedette. Laborde, qui se souvient de Joseph Habierre, casseur de cailloux disputant le Tour de France en 1909, a bel et bien une mémoire d'éléphant. Il est surtout un fabuleux conteur. Les exploits, les duels, les grands cols, les paysages, les coups tordus, les abandons, les chutes, les tragédies, les larmes, les maillots, les vélos, l'accordéon, la caravane, les spectateurs, leur enthousiasme et leurs chapeaux de fortune : Laborde n'oublie rien, magnifie tout, fait le Tour de la question dans un style flamboyant. La légende des cycles brille d'un éclat neuf. Poète, romancier, pamphlétaire, chroniqueur à La Nouvelle République des Pyrénées, journal le plus lu par les ours, Christian Laborde, quand il n'écrit pas, monte sur scène ou sur son vélo.
Le protestantisme est généralement réputé étranger à la Lorraine. Pourtant, la diversité géopolitique de l'espace lorrain à l’époque moderne, puis sa partition tragique à l’époque contemporaine, font de ce territoire un lieu de diffusion contrastée des réformes protestantes, dans leur diversité. Calvinistes, luthériens ou encore anabaptistes, ...
Dans le contexte actuel d’enjeux économiques, agroenvironnementaux et sociétaux, les sols occupent une place centrale. Ils assurent en effet de nombreuses fonctions et subissent des menaces qui sont encore largement méconnues ou peu prises en compte. Les cartes de sols et les bases de données pédologiques contribuent à améliorer cette situation. Elles contiennent une multitude d’informations quantitatives et qualitatives, mobilisables dans une large gamme de thématiques, mais dont la mise en œuvre nécessite des connaissances pluridisciplinaires souvent difficiles à réunir. Ainsi ce manuel consacré à l’approche cartographique territoriale des sols vise-t-il à sensibiliser aux multiples problématiques en lien avec les sols, en apportant des exemples concrets et des démarches précises. Il a été réalisé dans le cadre du Réseau mixte technologique (RMT) Sols et Territoires, labellisé par le ministère en charge de l’agriculture et qui a pour vocation d’amplifier et de valoriser la connaissance des sols dans une perspective de développement durable des territoires, tout en stimulant leur prise en compte dans les différentes politiques. Conçu en 2...
"Le Vexin français est l'une des régions de l'hexagone dont le paysage monumental a été le plus profondément marqué par la diffusion de l'art flamboyant. L'étude sur un demi-siècle (1495-1548) de la reconstruction de la grande église de Gisors permet, grâce à une exceptionnelle documentation écrite, de saisir les composantes humaines, matérielles et formelles de ce qui fut l'un des plus grands chantiers du temps aux confins de la Normandie, de la Picardie et de l'Île-de-France. La confrontation des textes et des édifices avec leur décor permet de comprendre la complexité et la diversité des formes du gothique tardif qui, ici, fit preuve d'une vitalité insoupçonnée, préparant le terrain à l'italianisme et au classicisme de la Renaissance. En établissant la place de l'église de Gisors dans l'évolution de l'art flamboyant français et en délimitant les contours de son rayonnement régional, cette étude offre un jalon important dans la compréhension d'un phénomène majeur dans l'art européen de la fin du Moyen Âge mais qui reste jusqu'à présent méconnu en France."--Page 4 of cover.
À partir de l’analyse du Livre Vert, inventaire synthétique des biens et droits des archevêques de Narbonne, rédigé à l’initiative de Pierre de La Jugie (1347-1375) et de celle des fragments de comptabilités originales conservés aux Archives secrètes du Vatican, cet ouvrage dévoile, par un véritable travail de détective sur le fond et la forme des documents, comment les archevêques du XIVe siècle géraient leur patrimoine et quels étaient les revenus assurant leur train de vie princier. Les détails pittoresques des sources rendent cette visite dans le passé très vivante et permettent de croiser des personnages attachants.
Almanach du clergé de France
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Dès le milieu du XIIe siècle, les Plantagenêt dominent un empire immense. Au cœur de cet ensemble, la Normandie représente un enjeu politique et stratégique majeur et il est essentiel que l’aristocratie y soit soumise et fidèle. Du point de vue de la monarchie angevine, elle le sera, de gré ou de force ! De gré, parce que les liens affectifs sont une réalité entre le duc et ses vassaux, que beaucoup entretiennent une familiarité avec lui, qu’ils collaborent activement à la défense et à la gestion du duché et, enfin, que le discours idéologique dans lequel ils baignent prône les valeurs chevaleresques, les notions d’engagement et de foi. De force, parce que garder la loyauté des hommes n’est pas toujours facile. Les Plantagenêt appliquent, à l’encontre de leurs vassaux, une politique oppressive : ils traquent la trahison, punissent, surveillent, contrôlent et exigent... Le mécontentement gronde. Il faut le charisme d’un Richard Cœur de Lion pour maintenir le dévouement d’hommes préoccupés par la préservation de leur patrimoine et leurs propres stratégies de pouvoir. Les relations entretenues entre le duc et les nobles normands sont la clé ...
Ouvrage de référence sur le vélo et le Tour de France, La fabuleuse histoire du Tour de France relate un siècle d'épopées, d'exploits réalisés et de drames vécus par des champions d'exception, de perfectionnements d'une compétition cycliste qui fait dorénavant partie du patrimoine français et mondial.
En 1910, pour la première fois dans l'histoire du Tour de France, les coureurs s'élançaient à l'assaut de la haute montagne. Redouté, le massif pyrénéen a fortement contribué à forger la légende de la Grand Boucle. Il y a les pro-Alpes et les pro-Pyrénées, comme il y a les chasseurs et les pêcheurs, les amateurs de chats et les amoureux des chiens. Il y a ceux qui trouvent les Alpes grandioses mais vendues au tourisme de masse, les Pyrénées étriquées mais demeurées souvent dans leur jus. Ce sont là appréciations de suiveurs. Les coureurs, en général, jettent tous les cols ensemble dans leur sac à douleurs. À chacun ses classiques. À l'Alpe-d'Huez et Morzine, les Pyrénées opposent Pau-Luchon et son enchaînement de quatre cols -Aubisque, Tourmalet, Aspin et Peyresourde- baptisé « cercle de la mort » par les chroniqueurs du début du XXe siècle alors qu'il s'agit bel et bien d'un alignement peu circulaire entre Béarn, Bigorre et Haute-Garonne, susceptible d'être emprunté en sens inverse ou avec quelques variantes. Il faut toutefois se garder de réduire les Pyrénées cyclistes à ce célèbre quatuor. L'Ariège a aussi ses petits cols vicieux comme ...
Du "A" d'Anquetil au "Z" de Zaaf, du "G" de Galibier au "M" de Miroir-Sprint dont les photos sépias font revivre les Tours de jadis, du "H" de Roger Hassenforder au "W" de Roger Walkoviak, l'histoire et la poésie, le lyrisme et l'humour se disputent à chaque entrée le maillot jaune. La défaillance de Floyd Landis dans la montée vers La Toussuire ; l'élégance de Miguel Indurain ; la chevauchée de Gaul dans la Chartreuse ; la glace à la vanille dégustée par Federico Bahamontes dans le col de Romeyère ; la fourche brisée d'Eugène Christophe ; la chute de Luis Ocaña dans le col du Menté ; les larmes de René Vietto ; Fausto Coppi et Gino Bartali escaladant ensemble le col d'Aubisque ; l'épaule de Raymond Poulidor touchant l'épaule de Jacques Anquetil dans le puy de Dôme ; Eddy Merckx s'emparant à Mourenx de tous les maillots ; les bidons, les klaxons, les musettes, les échappées ; Lance Armstrong faisant du rodéo dans les Alpes : Le Tour de France vit dans ce Dictionnaire amoureux. La précision et le lyrisme, le récit et la poésie, l'information et l'humour se disputent à chaque entrée le maillot jaune. Cet ouvrage fait briller d'un éclat neuf l'épopée...
Plus de cinquante ans après sa naissance, en 1960, et vingt-quatre ans après son décès officiel, en 1989, le Parti socialiste unifié nourrit encore la curiosité des historiens. Ce petit parti a laissé l’image d’un « laboratoire d’idées », doté d’une grande influence dans les années 1960 et 1970, et d’une longue postérité jusqu’à nos jours. Pour aller au-delà, ce livre retrace la trajectoire météorique du PSU, de son combat contre la guerre d’Algérie, à son déclin, amorcé, dès 1974, avec le ralliement de Michel Rocard au Parti socialiste, en passant par les barricades de Mai 1968. Ce faisant, il éclaire le rapport du PSU avec les institutions de la Ve République, qui l’ont en quelque sorte étouffé ; montre que son organisation, toujours proche de la balkanisation, a cependant permis, par son ouverture, la socialisation politique de plusieurs générations ; dévoile les multiples facettes de sa culture politique, anticapitaliste, anticolonialiste, anti-impérialiste et antimilitariste ; et, enfin, révèle son épaisseur sociétale. Complexe, l’histoire du PSU est incontournable pour qui veut comprendre l’histoire politique française...
Plus d'informations