
Béla Bartók
Auteure: Laetitia Le Guay Brancovan
Nombre de pages: 146Ouvrage qui retrace la bio de Bela Bartók.
Ouvrage qui retrace la bio de Bela Bartók.
Après une montée professionnelle des plus prometteuses, Stella a la certitude de devoir se retirer, sans vraiment savoir pourquoi. Elle se retrouve alors plongée dans un passage à vide qui lui semblera sans fin. Elle poursuivra ses recherches au rythme de l’emprise d’une toile qui la gardait prisonnière, jusqu’à ce qu’un nouvel entendement laisse entrevoir des bribes de sa vérité. À PROPOS DE L'AUTEURE Silvy Cloutier est une auteure québécoise. La nature humaine et tout ce qui l'anime, a toujours suscité chez Silvy un profond intérêt. Autodidacte, elle s'initie dès l'adolescence à la psychologie qui demeure un secteur retenant particulièrement son attention. Elle songe à y faire ses études, mais c'est finalement l'astrologie qui lui sert de support comme accompagnatrice
Les paradoxes de la sirène chez Barbara. Une chanteuse entre image et réalité se centre sur l'étude des chansons écoutées de Barbara et rattache le personnage de la chanteuse aux sirènes. Il s'en détache cependant en mettant en exergue un être humainement altruiste. Elle connaîtra paradoxalement le succès populaire quand elle perdra en performance vocale et physique.
Ce Candide des temps modernes porte un regard neuf, critique et décalé sur nos curieuses mœurs. Il nous invite avec humour et tendresse à mieux comprendre le point de vue des autres et à embrasser la différence. Les jeunes humains ont déserté les campagnes, condamnant les Trolls de Brocéliande à faire leurs emplettes de viande en grande banlieue. Face à l’imminente pénurie, ils chargent le jeune Loki, doux rêveur, de se fondre parmi la population humaine dans l’espoir de découvrir de nouvelles chaînes d’approvisionnement. De Brocéliande à Paris, le jeune Troll va côtoyer le genre humain pour le meilleur et pour le pire. Mais en bon représentant de son espèce, il ne ratera jamais une occasion de semer la zizanie.
Une chocolaterie, d’où s’exhale le parfum des amandes grillées, une maison familiale entre étang et forêt, un verger où jouent trois enfants en compagnie d’une chèvre et d’un jeune chien au poil bouclé : tel est le bonheur tendre et quotidien du héros de "Cette vie que j’aime". Mais 1937 arrive, et cet homme qui se veut libre dans un monde libre, voit - tour à tour envahies et asservies - l’Autriche, la Tchécoslovaquie, la Pologne, tandis que tout ce qui lui est cher s’écroule autour de lui. Le récit que René Naegelen nous fait de la Drôle de guerre et de l’Exode, de la défaite et de l’Occupation, puis de la Libération, n’est ni un plaidoyer, ni un réquisitoire, ni une œuvre partisane : c’est, simplement, un témoignage humain. René Naegelen dit ce qu’il a vu, entendu, ressenti. Et si son ouvrage, tome troisième de "Cette vie que j’aime", traduit sa vérité personnelle, peut-être exprime-t-il aussi la vérité de son pays, telle qu’elle apparut sous « les lourdes nuées... ».
"Pour connaître la vérité sur cette affaire il faudra attendre au moins un siècle" Giulio Andreotti - Président du Conseil - Italie, Octobre 2003. Inspirés de faits authentiques, les personnages de ce roman nous ouvrent les arcanes des machinations politiques occultes durant la guerre froide en plein cœur de Rome. Il ne s’agit ni d’une tragédie, ni d’un documentaire-fiction mais d’une histoire réelle, vécue. Grâce à Patrizio Avella nous retrouvons avec délectation une Italie traditionnelle aux mille saveurs mais aussi une Italie en pleine évolution avec ce que cela comporte de drames et de scandales... Guido Gian, un agent des « Servizi » saisit l’opportunité d’une mission pour organiser un évènement spectaculaire et meurtrier dans le but de créer un climat de terreur préalable à un coup d’état militaire. Au milieu de ce plan machiavélique qui concernera le « Tout Rome » un amour naîtra. Licia en détournera-t-elle les sombres desseins ? Après « La Dolce Vita », les années de plomb débutent dans le sang et les larmes. Patrizio Avella nous embarque littéralement en plein cœur de l’Italie, de Rome et de sa plume vise très habilement ...
Avant de vous donner la définition de la littérature, je voudrais vous en donner le sentiment. À moins d'être une pure intelligence, on ne comprend bien que ce qu'on a senti. Cicéron, le plus littéraire de tous les hommes qui ont jamais existé sur la terre, a écrit une phrase magnifique, à immenses circonvolutions de mots sonores comme le galop du cheval de Virgile, sur les utilités et les délices des lettres. Cette belle phrase est depuis des siècles dans la bouche de tous les maîtres qui enseignent leur art et dans l'oreille de tous les enfants; je ne vous la répéterai pas, toute belle qu'elle soit, parce qu'elle ne laisserait qu'une vaine rotondité de période et une vaine cadence de mots dans votre mémoire. J'aime mieux vous la traduire en récit, en images et en sentiments, afin que le récit, l'image et le sentiment la fassent pénétrer en vous par les trois pores de votre âme: l'intérêt, l'imagination et le cœur; et afin aussi qu'en voyant comment j'ai conçu moi-même, en moi, l'impression de ce qu'on appelle littérature, comment cette impression y est devenue passion dans un âge et consolation dans un autre âge, vous contractiez vous-même le...
Quand Henry Bauchau, en 1954, entame ce Journal, il ne soupçonne pas qu’il lui faudra un demi-siècle et près de 3 000 pages pour y préméditer, y interroger et y refléter chaque étape de l’immense œuvre en cours. Par ce premier volume (le dernier qui restait à paraître de cette édition complète), le lecteur s’aventure dans l’atelier d’un grand artiste en devenir, est témoin de ses tentatives, sa foi, son opiniâtreté dans le combat avec la peur d’échouer.
Since 1846 its Procès-verbaux has formed part of its mémoires.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
La solitude est souvent synonyme d’une douloureuse sensation d’isolement. Lorsqu’elle est subie, elle est vécue comme un abandon, un rejet. On peut aussi choisir d’être seul, d’aménager pour soi des temps où l’on est face à soi-même. Pour le plaisir, d’autres que ceux qu’on partage avec autrui ; pour prendre soin de soi, respecter ses besoins individuels. Mais beaucoup ne sont pas préparés à faire usage de cette liberté solitaire. Ceux-là paient plus ou moins cher de ne pouvoir assouvir leurs désirs qu’à travers les autres. Pour échapper à la très redoutée solitude, on peut être amené à confondre compromis et compromission. Vaut-il mieux être seul que mal accompagné ? On peut certes par dépit, subir et goûter l’amertume de la négative solitude. A l’inverse, l’auteur vous propose d’explorer la positive solitude. Il est question d’un apprivoisement de soi qui nécessite une exposition progressive à certaines de nos peurs. Être en paix avec soi-même est une condition majeure pour aller à la rencontre des autres paisiblement. Bonne lecture solitaire ! Hervé Magnin est psychothérapeute cognitiviste, comportementaliste. Il est...
La huitième section du Parquet de Paris, véritable SAMU judiciaire, fonctionne 24 heures sur 24, et « travaille à chaud » sur tout ce qui touche à la grande criminalité, aux petite et moyenne délinquances et, récemment encore, au terrorisme. Son chef en a été Laurent Davenas — premier substitut du procureur de la République — de janvier 1983 à février 1988. Observateur privilégié, Laurent Davenas a suivi, depuis dix ans, les grandes affaires qui ont secoué la capitale : attentats de la rue des Rosiers et de la rue de Rennes, affaires Empain et Cardon, morts de Dalida et de Romy Schneider, assassinats des « vieilles dames »... Méconnu du grand public, le rôle de celui qui n’est le héros d’aucune série télévisée, d’aucun roman policier, est pourtant essentiel au fonctionnement de la justice : le procureur de la République dirige l’enquête et décide de la poursuite, ou non, du délinquant devant les tribunaux. Ce livre corrosif retrace, sans complaisance, le combat quotidien d’un tel magistrat. « J’ai exercé la répression, écrit Laurent Davenas, en m’efforçant d’accorder le droit et la raison. J’ai tenté de faire en sorte que...
Édition présentée par Jean-Claude Perrier
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