
La fin d'un aventurier
Auteure: Édouard Maynial , Raoul Vèze
Nombre de pages: 304Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
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L'AFFAIRE CIMAROSA Recueil d’études sur la figure de Domenico Cimarosa, un des principaux compositeurs italiens de la deuxième moitié du XVIIIe siècle. La personnalité et le talent de Cimarosa ont été célébrés partout en Europe du vivant du musicien. À partir de la deuxième moitié du XIXe siècle, les opéras composés par Cimarosa ont sombré dans un oubli progressif et inexorable et les informations liées à son existence ont commencé à être véhiculées par les biographies rares, imprécises et presque exclusivement anecdotiques. Dans ce recueil d’études, qui repose sur la découverte de documents originaux et inédits, Simone Perugini, qui est le plus grand expert de Cimarosa, reconstitue certains des passages obscurs de la carrière et de la biographie du compositeur d’Aversa, ouvrant la voie à une connaissance plus scientifique de son œuvre.
DigiCat vous présente cette édition spéciale de «La peinture italienne, des origines au XVIe siècle», de René Schneider. Pour notre maison d'édition, chaque trace écrite appartient au patrimoine de l'humanité. Tous les livres DigiCat ont été soigneusement reproduits, puis réédités dans un nouveau format moderne. Les ouvrages vous sont proposés sous forme imprimée et sous forme électronique. DigiCat espère que vous accorderez à cette oeuvre la reconnaissance et l'enthousiasme qu'elle mérite en tant que classique de la littérature mondiale.
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Redécouvrez les pépites des premiers âges de la Maison Glénat dans une édition numérique remasterisée. Elles constituent un hommage inédit et unique aux premiers artistes qui ont participé à l'édification du catalogue majeur du premier groupe indépendant de bandes-dessinées contemporaines. Nombre de ces oeuvres ont eu une influence considérable sur leur époque. Véritables madeleines, elles témoignent toujours d'une belle vitalité, provoquent une tendre émotion et permettent enfin de vérifier l'admirable cohérence thématique de l'identité pérenne des éditions Glénat.
Venise – " l'un des secrets les plus poétiques qui aient jamais existé sur cette terre ", selon l'un de ses meilleurs connaisseurs, Dino Buzzati – ne cesse de fasciner ses innombrables visiteurs par sa splendeur architecturale et son mystère troublant et enchanteur. Fruit du travail conjoint de collaborateurs français et italiens venus d'horizons différents, ce volume nous plonge au coeur de cette ville mythique au fil d'une exploration minutieuse et originale qui contredit bien des clichés sans altérer sa légende. Il montre comment elle s'est construite à travers le temps par une volonté acharnée de domination de son milieu naturel. Pendant des siècles, Venise a été un État autonome, une république rebelle et une puissance maritime redoutée. Une cité hors normes dont le prestige se nourrit de l'imaginaire qu'elle suscite. La ville de l'amour, de la séduction, de la sensualité, mais aussi le symbole de la fin d'un monde. Au gré des promenades qu'il propose, cet ouvrage d'une ampleur sans équivalent permet d'accéder à une connaissance à la fois réaliste et intime de la vie vénitienne. Prisée depuis toujours par les écrivains français, Venise a...
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L'ouvrage d'un piéton aussi amoureux que connaisseur de Venise Loin de l'image d'une ville-musée à la confluence des arts, Venise vibre de toute la gaieté italienne. Une douceur, un plaisir de vivre qui jaillissent des tableaux de Giambattista Tiepolo, de la musique de Vivaldi, du théâtre de Carlo Goldoni, des aventures de Casanova. Une dévotion aux sens à laquelle s'ajoute un esprit profondément républicain, ouvert au monde. Dominique Fernandez nous raconte le glorieux passé de cette ville si singulière posée sur les eaux, décrit le développement de l'art, rappelle les navigateurs audacieux, et dessine les contours de sa Venise personnelle en n'oubliant rien des lieux phares comme la place Saint-Marc, l'Accademia, les Zattere ou l'église San Zanipolo. Il cite avec bonheur les grands écrivains voyageurs qui ont aimé Venise et ont été inspirés par elle : George Sand, Alfred de Musset et son frère Paul, Théophile Gautier, Joseph Brodsky, ou encore le romancier anglais Frederick Rolfe. Illustré par de splendides photographies de Ferrante Ferranti regroupées dans un cahier hors-texte, cet ouvrage redonne ses couleurs à la " cité des Doges " et révèle...
L’histoire des étrangers dans la ville s’identifie avec l’histoire même de la ville. Le présent nous renvoie donc au passé de la Méditerranée et de l’Europe. Il nous invite aussi à la comparaison avec d’autres sociétés, comme celles de l’Islam, de l’Inde, de la Chine ou de l’Amérique précolombienne. Plus près de nous, pourtant, le destin de nos villes a été marqué par des évolutions qui ont couvert la fin du Moyen Âge et l’époque moderne, soit les cinq ou six siècles qui ont précédé la révolution industrielle. C’est ce demi millénaire des origines – celui de la mise en place d’un premier ordre politique et économique, avec ses capitales, ses métropoles marchandes et ses réseaux commerciaux – que le livre analyse, à l’échelle de la Méditerranée, puis de l’Europe occidentale qui en a recueilli l’héritage. L’étranger y est omniprésent et pourtant difficile à saisir, souvent accepté, parfois chassé ou poursuivi, voire condamné comme tel. Même rejeté, il a contribué à modeler l’espace urbain et y a laissé ses traces. Elles constituent aujourd’hui les pistes préférées des historiens.
Au fil des études, il est question du statut et des enjeux théologiques des images, de la réception des œuvres, de leurs effets de sujet et d’objet, de l’organisation du savoir qui sous-tend les productions artistiques ou encore du travail interne à la culture picturale.
Sophie Rothé explore dans cet ouvrage un des paradoxes qui jalonnent les écrits de Giacomo Casanova (1725-1798). Imprégné de philosophie éclairée, le chevalier de Seingalt exprime son mépris pour les pratiques superstitieuses. Pourtant il devient charlatan et met ses talents théâtraux au service de la duperie, développant ainsi une « esthétique de la superstition ». Au cours de son existence, en particulier lors de l’expérience des Plombs, l’imposteur devient victime de ses craintes irrationnelles. Incapable de fixer ses convictions, ses prises de positions philosophiques demeurent contradictoires. Passant des attraits de la raison aux plaisirs de la croyance, l’aventurier s’abandonne plaisamment au mouvement, non seulement avec les femmes mais aussi en littérature et en philosophie.
Telles ces étoiles qui rayonnent tout en ayant l'air d'être éteintes, et que le narrateur de la Recherche identifie aux ouvrages de Vermeer et de Rembrandt, l'oeuvre proustienne mélange et répand son énergie dans le cours esthétique de l'Occident. En amont, car dans la Recherche confluent et se métamorphosent non seulement de multiples héritages littéraires et artistiques - les plus traités par la critique - mais aussi des héritages scientifiques et philosophiques, peut-être moins visibles. En aval, car l'oeuvre de Marcel Proust s'est projetée vers l'avenir tout en irrigant le territoire esthétique et idéologique de la culture jusqu'à nos jours. Ce livre propose une approche ouverte et multidisciplinaire de la Recherche, élaborée depuis diverses perspectives analytiques et méthodologiques, afin de moduler le dialogue intarissable que les pages proustiennes ont fait jaillir de tous temps. Como esos astros que siguen irradiando calor aún pareciendo extintos, a los que se refiere el narrador de la Recherche a propósito de la pintura de Vermeer y Rembrandt, la energía que se expande de la obra proustiana nutre buena parte del caudal estético de Occidente al...
Au fil des études, il est question du statut et des enjeux théologiques des images, de la réception des œuvres, de leurs effets de sujet et d’objet, de l’organisation du savoir qui sous-tend les productions artistiques ou encore du travail interne à la culture picturale.
Le livre de Marco Polo est le fruit de deux aventures. Celle de l'intrépide Vénitien qui pénétra jusqu'au plus profond de l'Asie, passe vingt ans au service de l'empereur mongol, le maître absolu de ces pays étrangers et fascinants, et effectua au retour un long périple, plus aventureux encore, par les Indes, ces royaumes peuplés de monstres, terres de rêves et de merveilles. Il est aussi le résultat d'une aventure littéraire qui n'est pas moins déconcertante que la vie de Marco Polo. En fait, Le Livre des Merveilles n'est pas vraiment le récit de ses voyages. On oublie trop souvent qu'il fut écrit par un Italien de Pise, homme de plume, familier des rois d'Angleterre et des Angevins de Naples, en français, langue de ces cours princières et de leurs cénacles d'auteurs. Comme le titre original l'indique, c'est un Devisement, c'est-à-dire une oeuvre qui s'inscrit dans la tradition des trouvères et des encyclopédistes, qui cherche à instruire autant qu'à plaire. OEuvre composite et de collaboration, née d'une rencontre de hasard, il reflète cette civilisation de cour trop méconnue des années 1220, ses curiosités, sa soif d'apprendre, son inébranlable...
Écrit au moment où l'opinion internationale prenait conscience du péril qui menace les monuments et la vie même de Venise, ce livre qui a fait date trace le portrait historique d'une cité dont l'existence, dès l'origine, fut au prix d'une lutte incessante des hommes contre des conditions naturelles particulièrement défavorables. C'est grâce au dynamisme de ses marins, de ses marchands, de ses diplomates, que Venise a su tourner à son avantage sa position aux confins de plusieurs mondes. Les solidarités qui ont uni les Vénitiens pendant plus d'un millénaire s'expriment aussi bien dans la stabilité des institutions que dans les caractères irréductibles d'une culture, d'un art, d'un genre de vie.
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