
Plus fragile que le cristal
Auteure: Magda Contino
Nombre de pages: 248Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
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La liste exhaustive des ouvrages disponibles publiés en langue française dans le monde. La liste des éditeurs et la liste des collections de langue française.
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Hazel pleura brusquement comme n’importe quelle jeune fille sans volonté en face d’un problème sentimental. Ce qui la chagrinait le plus c’était de se rendre compte que le destin avait été bon pour elle puisqu’il avait placé sur sa route en temps opportun celui qu’elle chérissait en secret. C’était elle qui avait faussé le destin en se liant à un autre. Hazel ne parvenait pas à concevoir ce qui l’avait poussée. Sans doute se transformait-elle. La sauvageonne aventureuse était loin, il restait une jeune femme éprise, malheureuse, ne sachant pas à qui demander aide, conseil, protection. Que la téméraire et volontaire Hazel pensât à se réfugier auprès de quelqu’un, révélait déjà les transformations de son caractère et de son cœur. Epuisée de fatigues physiques et morales, elle finit par sombrer dans un lourd sommeil.
Fabienne s’assit, face au miroir. Elle ne pleurait pas, elle était écrasée par la brutale révélation, complètement désemparée, mais elle avait ; au fond d’elle, un orgueil qui lui dicta son attitude. Elle se leva, plaqua sur son visage une expression fermée et absente. Montrer son chagrin eût été trop humiliant ! Elle redescendit, soucieuse qu’on se fût déjà aperçu de son absence. Plantée, toute droite, dans la porte de la salle, elle chercha Éric et l’examina avec d’autres yeux. Elle lui avait offert son amour avec tant de naïveté !
Ce roman vous offre — en bouquet — la vie de deux fleurs de Paris : Rose-Marie, la mère, Roseline, la bru. Entre elles, les problèmes sont aussi épineux que les tiges de rosiers. Pourtant, il faudra bien qu’elles s’unissent pour faire face à l’adversité ! Ah ! comme la tendresse est difficile à répartir équitablement ! La barque fragile de leur bonheur conjugal est secouée par les envieux. Quant aux maladroits, ils peuvent causer autant de dégâts qu’une tempête. Ce roman traite aussi de l’adoption, non pas sur le mode facilement sentimental en face d’un petit enfant, mais en valorisant l’angoisse d’un homme déchiré. Vous frémirez en admirant le caractère courageux des deux Roses, vous sourirez avec émotion devant la délicatesse, le doigté de ces deux Parisiennes qui n’ont qu’un but : protéger le bonheur de leurs foyers.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
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Le Docteur Lemonier et sa mère, Madame de Tornaille, et Nadège, sa petite-fille et unique héritière, et son horrible neveu, et Augustin, le fermier, sont les héros de cette nouvelle histoire de Magda Contino. Histoire de famille, histoire d’amour aussi ! Surtout ! devrais-je dire, car l’auteur excelle à mener une action où s’affrontent des êtres droits et exigeants, presque toujours passionnés, à narrer les étapes de leur longue route vers le bonheur. Les caractères, les lieux, sont dépeints avec minutie, entraînant l’attention, sans lui laisser aucun répit. Il faut lire ce roman, sans avoir à s’arrêter. L’intrigue, vous la découvrirez vous-même ! Vous en parler au préalable, risquerait de dévoiler le mystère qu’inévitablement elle renferme. D’ailleurs, que vous importe ! Vous n’ignorez pas que Madame Contino est une romancière, dont le succès est dû à son talent et que, généralement, le dernier de ses ouvrages n’inspire qu’un désir : celui de pouvoir, le plus tôt possible, couper les pages du suivant. Celui-ci, le voici ! Lisez : “Les mains désunies”. Il vous plaira !
À l’occasion d’un concert à la salle Pleyel, Francine Mortain et sa mère font la connaissance de Raphaël Segalas, un Argentin, qui se dit exportateur. Mme Mortain comprend vite que sa fille n’est pas insensible au charme du jeune homme ; elle se renseigne sur lui et découvre qu’il a fait de la prison. Elle décide d’éloigner à tout jamais sa fille de cet individu et, pour lui faire oublier son chagrin, part avec elle à Nice. Francine ne tarde pas à s’y marier avec David, un marchand de biens. Mais Raphaël, fou de jalousie, décide de se venger. L’amour résistera-t-il à la violence ? Francine saura-t-elle échapper à son séducteur ? Parviendra-t-elle à sauvegarder son bonheur menacé ?
Le bruit de l'orchestre leur parvint, plus distinct. On avait ouvert les hublots où les musiciens jouaient une danse moderne. Sur le pont arrière, on servait des rafraîchissements par petites tables. Les globes lumineux, qui répandaient une lueur laiteuse, attiraient des insectes en nuages serrés. Ils ne pouvaient venir de terre, les côtes étant trop éloignées. Valérie se dit qu'on avait dû les embarquer au départ. Mais Jean Lemonier fournit indirectement une raison à leur présence : - À l'aube, nous franchirons le canal de Panama... - La nouveauté est bien agréable, dit Valérie, heureuse. Je dois être née pour l'aventure. Vous connaissez bien le Pérou ?
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
La Guerre de Franci est la fascinante histoire vraie d’une jeune fille durant la Seconde Guerre mondiale : Franci Rabinek Epstein a survécu à trois camps de concentration nazis, au travail forcé et même à une rencontre avec le terrible Josef Mengele. Après guerre, elle voudra laisser un témoignage, une trace de ce voyage en enfer dans un texte précis et détaillé où elle ne se se départit jamais de son humour ni d’une véritable élégance naturelle, qui ont résisté à l’épreuve de l’horreur. Mais sa franchise sur ce qui advint aussi dans les camps, les relations sentimentales entre les êtres en même temps que les abus sexuels, venait trop tôt : elle embarrassa. Les esprits n’étaient pas prêts et, lorsqu’elle mourut à New York en 1989, ses mémoires n’avaient toujours pas été publiés. Sa fille, la journaliste Helen Epstein, auteure réputée pour son travail sur le traumatisme en héritage, a établi l’édition de ce récit puissant, qui paraît pour la première fois en français.
Une enquête passionnante sur le Dahlia noir anglais. Londres, 1954. Jean Mary Townsend, une jeune styliste travaillant dans le monde du spectacle, est retrouvée étranglée. Les circonstances du meurtre restent obscures, tout autant que l'identité de l'assassin. Le jeune Fred Vermorel lit en une de l'Evening Standard un compte rendu de ce fait divers qui, toute sa vie, va l'obséder. Sept décennies plus tard, il nous livre les clés et, peut-être, la solution de cette incroyable affaire. Son enquête acharnée nous mène dans les milieux de la nuit londonienne, que Jean fréquentait assidûment. Là où se croisaient grand banditisme, show-biz, politique, de Joan Collins à la princesse Margaret en passant par Rock Hudson, Profumo, les frères Krays ou encore Sarah, la fille de Winston Churchill. Des clubs généralement clandestins, des bars gay, des lieux transgressifs, ouverts à tous les délires sexuels, où la drogue circulait à foison. Des endroits de perdition pour des jeunes filles souvent trop naïves. Au-delà d'un superbe true crime, Fred Vermorel lève le voile sur une époque et ses moeurs dans ce récit fascinant, illustré de nombreux documents d'archives.
Je m’appelle Aline Dupin ; j’ai onze ans depuis le 16 août. Estelle a douze ans. Riquet a six ans et demi. On habite 13bis, rue Jacquemont, la maison qui est juste en face de la cour du charbonnier. Ainsi commence le journal d’Aline, chronique d’une vie constellée de petits soucis et de craintes, de grandes joies et de petits bonheurs : une composition ratée, une copine énervante, une si jolie robe neuve, l’absence de maman pour des jours qui semblent trop longs... On y respire le parfum d’un Paris un peu disparu et la générosité d’un écrivain qui sut si bien donner aux enfants la littérature qu’ils méritaient.
Jalousie, lassitude, culpabilité, sentiment de trahison ou de domination... Nombreux sont les obstacles à franchir, les malentendus à lever, les souffrances à dépasser pour accéder à la joie d'amour. Démontrant qu'elle n'est en rien une utopie, Robert Misrahi, spécialiste du bonheur, propose une véritable « philosophie de l'amour». Il décrit pas à pas, de manière accessible et concrète, comment le penser et le vivre pour atteindre la splendeur promise. S'appuyant sur sa propre expérience mais aussi sur des exemples tirés de la littérature, Robert Misrahi explique comment surmonter les échecs amoureux et trace la route de la "conversion au bonheur" qui, selon lui, passe par la reconnaissance de l'amour libre et réciproque. Un ouvrage positif et profondément humain.
A travers le bruissement d'une conversation amoureuse qui les résume toutes, Alice Ferney livre un homme et une femme à la magie des mots, à leur adultère séduction et au dangereux bonheur du secret qu'ils s'inventent.
Le Mulo est à la fois l’esprit du mort et le mort. Il n’est ni l’âme, ni le double du défunt, ni un spectre. Créature indivisible impalpable, ni eau, ni sable, ni air. Le Mulo est sans ossature mais n’est pas mou, il quitte souvent les cimetières où il s’ennuie. À ce moment, il rode. Le Mulo est une ballade au goût de vengeance dans la famille des gens du voyage. Un polar donnant un regard neuf sur le monde des gitans.
« Je ne vois pas pourquoi l’amour entre une mère et un fils ne serait pas exactement comme les autres amours. Pourquoi on ne pourrait pas cesser de s’aimer. Pourquoi on ne pourrait pas rompre. Je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas s’en foutre, une fois pour toutes, de l’amour. » Constance Debré poursuit sa quête entamée avec Play Boy, celle du sens, de la vie juste, de la vie bonne. Après la question de l’identité se pose la question de l’autre et de l’amour sous toutes ses formes, de l’amour maternel aux variations amoureuses. Faut-il, pour être libre, accueillir tout ce qui nous arrive ? Faut-il tout embrasser, jusqu’à nos propres défaites ? Peut-on renverser le chagrin ?
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