Babylone Végas
Auteure: José Luis Munoz
Nombre de pages: 240En panne à Las Vegas, un homme ordinaire sombre dans l'enfer du jeu et en devient criminel. Une chute vertigineuse et sans concession.
En panne à Las Vegas, un homme ordinaire sombre dans l'enfer du jeu et en devient criminel. Une chute vertigineuse et sans concession.
Mike Demon (déjà aperçu dans Babylone Vegas) est vendeur d'assurances. Il mène une existence de bon Américain moyen tout en s’offrant des escapades amoureuses ou sexuelles lors de ses tournées. À Tijuana, il promet à la prostituée sublime dont il est tombé follement amoureux de lui faire passer la frontière. C’est sans compter Fred Vargas, un flic mexicain violent et véreux, qui fait chanter les bons pères de famille yankee venus s’encanailler de l'autre côté de la frontière... Une double intrigue menée de main de maître pour un western noir sursaturé de violence et de sexe.
Cuba, une île asphyxiée par le blocus. A La Havane, les habitants vivent de petits boulots et de débrouille. Pour les touristes, le tableau est pittoresque : soleil, immeubles peints en couleurs pastel et prostituées un peu partout, illégales mais tolérées puisque l'économie locale dépend en grande partie d'elles. Un inspecteur féru de littérature, fanatique de Faulkner et d'Hemingway, amateur de vieux films américains, évolue dans ce milieu. Bien que chargé de la traque aux maisons clandestines, il est en contact avec les maquerelles et apprécie ces filles dont corps et culs remuent comme nulle part ailleurs. Amoureux de Minerva, il accepte plutôt mal les hommes qui tournent autour d'elle. Il en deviendrait presque méchant... Chargé d'enquêter sur la découverte d'un tronc de femme décapitée, il aimerait entraîner son collègue Vladimir dans sa vie de déglingue. Entre les maisons lépreuses dans les ruelles humides et moites, la fin inéluctable sera surprenante et plus violente qu'aurait pu le laisser supposer la pourriture tranquille.
"J'entretiens depuis longtemps une étrange relation d'amour-haine avec les Etats-Unis, un pays que j'admire pour bien des raisons - dont les plus évidentes sont le cinéma, la littérature et la musique - et que je déteste pour d'autres. J'ai par ailleurs une relation personnelle avec ce pays : ma soeur et mes deux nièces y vivent. Tout ceci me pousse à voyager aux Etats-Unis, à écrire sur ce pays et à tenter de le comprendre. Une grande part de mes romans sont le fruit de voyages. Un roman, en soi, est un voyage, aussi bien physique que mental. De ma fascination-répulsion pour Las Vegas est né Babylone Vegas. J'ai voulu revenir au personnage central de ce roman écrit après un séjour dans la ville du jeu et un reportage qui m'avait été commandé par une revue et qui fut illustré par des photos d'Helmut Newton. Je voulais revenir sur ce qui lui était arrivé avant son voyage à Las Vegas. J'avais passé quelques jours à Tijuana, un territoire dangereux, très littéraire mais où il n'est pas recommandé de vivre - et où la situation est bien pire aujourd'hui. C'est ainsi qu'a commencé à surgir La Frontière sud, un roman de la frontière, avec deux trames...
Dans l’Espagne de la période du franquisme tardif (1957-1975), les critiques d’art jouent un rôle essentiel dans les mouvements de contestation qui agitent une société alors en pleine mutation. Contre la doctrine d’un art moderne autonome et dépolitisé prônée par le régime, ils produisent des discours esthétiques qui rétablissent le lien entre culture et politique et poussent les artistes à inscrire leurs œuvres dans le cadre élargi des questions éthiques et des enjeux sociaux. En s’appuyant sur l’étude d’archives restées jusqu’ici inexplorées et sur des entretiens inédits, Compagnons de lutte s’attache au travail de sept critiques et historiens de l’art espagnols qui ont pris une part extraordinairement active à la vie intellectuelle et politique de leur pays dans les années 1960 : ils publient, éditent, traduisent, ils organisent des expositions, des débats, des rencontres. Grâce à la complicité nouée avec Giulio Carlo Argan et Umberto Eco en Italie, Adolfo Sánchez Vázquez au Mexique, Gérald Gassiot-Talabot, Pierre Restany et le Salon de la Jeune Peinture à Paris, ils s’approprient les théories et les tendances artistiques...
Au jour 3, débute l’enquête pour découvrir qui serait l’auteur de la tentative de meurtre sur M. Anthony Alvaro. Les enquêtrices Isabelle Lamarre et Hyacinthe Paré rencontreront huit suspects qui se déclare-ront tous innocents. Parmi eux se rencontre un pasteur. Une véritable plongée sera effectuée dans leur intériorité. L’équipe « la tronçon-neuse » de la Sûreté du Québec investiguera les derniers crimes de la nuit qui seraient reliées au groupe de motard les « Malos Diablos ». Une pression sera exercée sur leur présumé chef incarcéré, Gérard Casgrain, aux fins de fournir des informations privilégiées. Une équipe de la GRC se retrouve aux aguets. La récupération politique du gouvernement relativement à la tentative de meurtre s’avèrera un coup fourré. Des liens seront découverts entre l’évêque anglican de Montréal et la victime. Au jour 4, lors d’une vérification de routine sera démasqué le vrai coupable. Un suspense de page en page.
Penser les interactions entre la presse et la société en guerre, telle est la visée de cet ouvrage. En s'appuyant sur un large éventail de journaux antifascistes publiés au Pays basque à partir de 1936, Une guerre de papier met en évidence deux phénomènes fondamentaux : l'émergence d'une culture de guerre et la banalisation de la violence. L'auteur étudie les pratiques journalistiques qui suscitent la mobilisation des combattants et de l'arrière en Euskadi et, au-delà, sur l'ensemble du territoire espagnol. Severiano Rojo Hernández fait ainsi émerger de nouveaux objets d'étude et des perspectives nouvelles, parmi lesquels ce qu'il nomme « la socialisation de la guerre ». Au-delà, Une guerre de papier étudie la manière dont se structure la perception du conflit en s'attachant aux différentes temporalités de la guerre : des temps courts et des temps longs qui s'enchevêtrent à la lecture du journal et facilitent l'articulation des diverses représentations de l'affrontement. Si la presse réactualise des représentations qui se sont forgées au cours de conflits antérieurs (guerre de Sécession, Commune et Première Guerre mondiale), les journaux basques...
Des portraits. Voilà ce qui vient à l'esprit du spectateur lorsqu'il voit les séries de saintes vierges et martyres de l'atelier de Zurbarán. C'est de cette impression que naît la réflexion conduite ici sur des saintes qui font l'objet d'un culte ancestral. Pour être en mesure de définir l'image de ces figures tant sur le plan de l'histoire locale que sur celui de l'histoire nationale, divers parcours géographiques et de multiples changements d'échelle sont nécessaires. Car ces saintes constituent un ensemble à la fois hétérogène et homogène, une ambivalence que cette étude ne cherche pas à réduire. Partant du principe que le culte est inséparable de l'image, l'ouvrage s'appuie sur des oeuvres écrites et sur des centaines de représentations iconographiques. L'auteur envisage de manière concomitante la mise en scène de ces saintes, leur mise en récit, en mots, en peinture, dans l'Espagne de Philippe III et de Philippe IV.
Comment Amancay réussira-t-elle à sauver Wayra, son bien-aimé ? Que découvrira Yupanqui, le pauvre villageois, dans les ruines de Pichka Marka ? Qui s'occupe de la hutte et des repas d'un jeune berger, un esprit ou une jeune femme ? Comment, grâce à Kusi, la montagne se couvrit-elle de beaux épis de maïs ? Qui vit dans les eaux profondes et limpides du lac Huacracocha ? Quel mal mystérieux ronge Juanito ? Ce recueil où le merveilleux et le réel s'entremêlent vous éclairera !
Après l'Italie et la Suisse, l'auteur poursuit ici son voyage intime et artistique à travers l'Europe. Aujourd'hui, ses Incursions espagnoles le mènent de l'Andalousie musulmane à la Catalogne, de la Cantabrie à la Navarre, de Tolède à Grenade. Nous traversons une Espagne où le peuple a de la personnalité. Un peuple religieux épris des saints qui figurent l'Espagne traditionnelle. Un peuple où les femmes jouent un rôle majeur et à qui les peintres du Siècle d'or surent rendre hommage. Un peuple qui chante, danse et joue de la musique. L'auteur nous invite à ces fêtes, nous les dévoile et nous les illustre.
Records for the 2d- sess. issued in two sections: v. 1, Proceedings and v. 2, Resolutions.
" Lorsque enfin me parvint le livre achevé, j'éprouvai un soulagement, mais surtout une grande joie : celle d'assister à une lecture pleine et véritable au sens le plus profond du mot, une lecture qui pourra être une carte et un guide pour ceux qui approcheront désormais mon travail et qui m'a servi à découvrir des choses que je n'avais jamais remarquées. " (Extrait de la préface).
Dictionnaire des littératures policières à vocation encyclopédique proposant aussi bien des articles sur les thèmes caractéristiques du genre policier que sur les collections, les magazines, les auteurs (notices biobibliographiques), les personnages, etc.
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L'écrivain catalan Manuel Vazquez Montalban, père du fameux détective Pepe Carvalho, parcourt les chemins les plus divers de la littérature : essai, poésie, roman et même cuisine. L'un de ses fidèles traducteurs, Georges Tyras, l'interroge, non sans une certaine complicité, sur l'écriture subnormale, ses romans et Barcelone.
L'itinéraire spirituel de Jean de Dieu qui réforma l'accueil et les soins apportés aux malades. En 1550, à sa mort, il laissa derrière lui une oeuvre, les frères hospitaliers de Saint-Jean-de-Dieu, et surtout une renommée de sainteté qui traversa les frontières.
Prosper Mérimée, nommé inspecteur des Monuments historiques en 1834, entreprend de recenser les monuments français en péril à la suite de la Révolution. L'idée lui vient d'utiliser la photographie. En 1851, cinq photographes, membres de la Société héliographique, sont chargés d'une commande de la commission des Monuments historiques.
Un groupe de sculptures illustrant les différentes facettes des recherches de Juan Munoz (1953-2001) et un ensemble de dessins offrent une vision renouvelée de l'oeuvre de cet artiste nourri de culture espagnole, sensible à la littérature et au cinéma anglo-américain, et qui mêle figuration et narration.
Les Parties ont analysé les résultats du questionnaire établi aux fins de l’examen et de l’évaluation de l’efficacité de l’Accord relatif aux mesures du ressort de l’État du port (ci-après dénommé «l’Accord») et ont abouti à la conclusion qu’il s’agissait d’un outil utile qu’il faudrait néanmoins encore améliorer. Elles ont chargé la FAO de réexaminer le questionnaire et décidé qu’il serait rempli tous les quatre ans. Les Parties ont noté qu’il restait un certain nombre de problèmes à régler malgré les progrès réalisés dans l’utilisation efficace de l’Accord aux fins de la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INDNR). Les Parties ont pris note avec satisfaction des informations utiles communiquées par les organes régionaux des pêches (ORP) concernant l’avancement de la mise en œuvre de l’Accord et sont convenues qu’il fallait un questionnaire uniformisé pour les ORP. Elles ont chargé la FAO d’élaborer une première version du questionnaire. Les Parties ont accueilli favorablement le prototype du système mondial d’échange d’information (GIES) et ont décidé qu’il devait...
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