
Coll. Monde Noir Poche, Nouvelle anthologie de la littérature congolaise
Auteure: Jean-baptiste Tati Loutard
Nombre de pages: 304Une collection qui prend sa source au coeur du monde contemporain (romans, nouvelles, théâtre, contes)
Une collection qui prend sa source au coeur du monde contemporain (romans, nouvelles, théâtre, contes)
Un panorama d'ensemble sur les littératures d'Afrique noire, étudiées sur un plan linguistique aussi bien que littéraire.
Des parfums de femmes soudanaises aux petits pagnes des Sénégalaises, l'Afriue séduit. Des romans Adoras à Chéri Samba, de la complainte congolaise aux poètes, le romantisme se fait africain. Ce faisant, l'Afrique réécrit mais aussi subvertit le sentiment amoureux. L'homosexualité n'est pas absente. C'est une autre Afrique qui apparaît, au-delà des fantasmes et des clichés réducteurs.
La lyrique de Jean-Baptiste Tati Loutard témoigne d'une identité fondée sur la langue d'expression, sur l'expérience du groupe communautaire et sur celle personnelle. L'identité apparaît dans son aspect d'entité cumulative de sens, d'expériences individuelles redevables aux particularités d'une race tout comme du pluralisme culturel. Il existe au-delà de ces rencontres une cohérence identitaire et une continuité d'attitude qui particularise la création de l'artiste et imprime des marques communes à tous les écrivains congolais. Tati Loutard rend avec véridicité la dimension vécue de ce qui constitue précisément une culture et libère l'initiative collective et la créativité individuelle des contraintes imposées par le pluralisme culturel. L'identité de Tati Loutard est celle d'un Congolais authentique avec son passé, ses convictions, ses ambitions, sa sensibilité. Rappelant les mythes essentiels et remontant jusqu'aux archétypes, l'identité de l'artiste telle qu'elle se présente à travers la thématique et les images - symbole est faite de " multiples appartenances " mais est vécue comme un tout. L'identité se construit donc par la mise en commun de ...
« Tous ceux qui ont eu la chance, que dis-je, la chance, le bonheur, de rencontrer Tchicaya U Tam’Si, savent bien qu’en perdant Tchicaya, nous n’avons pas seulement perdu un immense poète de langue française en même temps qu’un romancier tout à la fois ironique, décapant et lyrique, mais aussi un homme d’une incroyable énergie, d’une lucidité amusée et fulgurante, un ami aussi, comme il en est peu. » Pierre-Jean Rémy, de l’Académie française Joël Planque, qui a passé de longues années à travailler sur le poète congolais Tchicaya U Tam’Si, retrace dans cet ouvrage, des bribes de vie de celui qu’il appelle Le Rimbaud noir. Cette biographie, écrite avec beaucoup de cœur et d’émotion, s’appuie sur les témoignages de ceux qui lui étaient très proches, comme Robert Sabatier, sur des archives sonores, et sur des extraits parfois inédits de poèmes.
Que désigne-t-on au juste lorsque l’on parle de « littérature africaine » et quelles peuvent être la place et la fonction de ce phénomène dans l’évolution de l’Afrique Noire contemporaine ? Telle est la question à laquelle tente de répondre le présent ouvrage, dans le cadre d’une recherche résolument interdisciplinaire qui fait appel tour à tour aux sciences sociales, à l’histoire et à la poétique. « Littérature et développement » s’articule autour de quatre thèmes principaux dont chacun se trouve centré sur une notion clef : la notion de culture coloniale qui renvoie à la tentative opérée par le colonisateur pour introduire en Afrique non sa culture mais une culture spécifique ; la notion de travail de l’écrivain, lisible dans la façon dont l’écrivain de langue française réagit au réseau formé par les textes produits en Afrique ou à propos de l’Afrique et qui illustre un processus d’intertextualité ; la notion de discours sur la littérature, produit parallèlement aux œuvres de fiction et destiné non à décrire la littérature mais à dire ce qu’elle doit être ; enfin, la notion de pratique qui révèle que...
En Afrique, de part et d'autre de l'équateur, le même fleuve a donné son nom à deux territoires : le Zaïre et le Congo. Au long de la rive droite, les régions de la grande forêt et de la "cuvette", des plateaux et de l'embouchure sur l'Atlantique se succèdent. Depuis la découverte du royaume de Kongo par les Portugais, en 1482, ce pays a connu bien des événements. En 1960 c'est l'indépendance et trois ans plus tard, la République populaire. Dès 1990, une Conférence nationale a mis fin au monopartisme et a ouvert la voie à une nouvelle histoire politique et sociale. A côté de l'histoire du pays, l'auteur présente aussi la faune, le développement économique, le phénomène culturel, les religions et l'éveil du tourisme.
Destin exceptionnel, sans conteste, qui fait du missionnaire un athlète pas comme les autres. Car l'athlète de profession finit toujours par se retirer ; le missionnaire, jamais. Produits malgré eux d'une époque particulière, ces athlètes de Dieu appartenaient à un milieu qui avait ses préjugés et ses stéréotypes. Ils n'étaient certes pas toujours des héros, mais assurément des hommes de devoir. Cet ouvrage tente d'éclairer tant de zones d'ombre dans la merveilleuse épopée de cette poignée de religieux de la congrégation des Pères du Saint-Esprit qui affrontèrent la brousse du royaume de Loango, en Afrique centrale, à la fin du XIXe siècle. L'évangélisation, inextricablement liée à la colonisation, a toujours été sujet de polémiques. En adoptant une démarche de recherche scientifique, Dominique Ngoïe-Ngalla livre un passionnant travail d'historien, destiné à approcher la réalité de ces hommes d'Eglise. Subtile, tout en nuances, objective et remarquablement documentée, une plongée inédite au cœur d'une époque, d'une mentalité, d'un éventail d'aspirations.
It is more than forty seven years ago that the Federation of black African students in France (FEANF) organised its first seminar in Paris on the relationship between black African literature and politics. The significance of the event came from the fact that literature served as a vehicle for unmasking traitors in Africa. This was also an opportunity for African students to define the role of literature in political struggles and to appreciate correctly and objectively the commitments of African writers in French. At no time was it a question of over emphasising the importance of this type of work in relation to the immense political challenges in the liberation struggle of African countries. Despite their ideological, religious and philosophical differences, African intellectuals were all committed to African independence and unity, and the need for a critical appraisal of the contribution of African literature in this regard. Participants at this seminar accomplished this task in serenity and with much lucidity. The young generation of pupils and students have the right to know the opinions of their elders who took part, in various degrees and for various reasons, in the...
Comment une œuvre littéraire accède-t-elle au rang de " classique " lorsque son auteur est issu d'Afrique subsaharienne francophone, l'une des zones les plus déshéritées du monde selon les standards culturels internationaux ? Comment une œuvre littéraire accède-t-elle au rang de " classique " lorsque son auteur est issu d'Afrique subsaharienne francophone, l'une des zones les plus déshéritées du monde selon les standards culturels internationaux ? Si les noms de Léopold Sédar Senghor et d'Ahmadou Kourouma se sont imposés partout, pourquoi d'autres auteurs, portés au pinacle en Europe, restent-ils peu connus dans leurs pays d'origine, quand les textes d'Aminata Sow Fall et de Seydou Badian, étudiés et discutés au Sénégal et au Mali, ne le sont pas en France ? Ce livre propose une histoire sociale collective de ces écrivains depuis 1960. Il distingue deux protagonistes majeurs : des intermédiaires culturels (organisateurs de festival, éditeurs, agents littéraires), souvent français, et des auteurs nés et socialisés en Afrique subsaharienne francophone, dont les trajectoires sont situées les unes par rapport aux autres dans un espace littéraire africain...
Cet ouvrage a repris, en les remaniant, les principaux chapitres d'une thèse notoire du même auteur (Université de Bruxelles, 1961). Ils ont été prolongés par une large fresque historique de cette littérature et de ses péripéties, depuis 1960 à nos jours. NOUVELLE EDITION MISE AJOUR
Loin du personnage public triomphant et tonitruant d'une francophonie dont il était à la fois l'alibi et la justification, cet ouvrage révèle la face cachée de l'écrivain congolais décédé en juin 1995 à Brazzaville.
Le surréalisme négro-africain évoqué par Senghor nous invite à interroger le potentiel lien avec le surréalisme français. La terminologie commune implique, en effet, qu'il y a eu sous une forme ou une autre un échange entre les auteurs impliqués. Le rapprochement, d'abord mis en place par la critique, révèle des dialogues entre André Breton, Louis Aragon, Michel Leiris et Philippe Soupault et de grands noms de la littérature africaine et antillaise tels que Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, Olympe Bhêly-Quenum et Tchicaya U Tam'si. L'ouvrage cherche à dégager la réelle part d'influence du mouvement surréaliste français sur les productions littéraires de ces auteurs africains et antillais, en interrogeant les similitudes, en soulignant aussi les différences dans le but de partir à la recherche d'une définition de ce qui a été baptisé le surréalisme africain". Ce surréalisme pourrait bien n'être que le reflet d'une pensée traditionnelle africaine qui mêle le merveilleux au réel et rejoint ainsi les objectifs visés par les surréalistes français.
Le lyrisme de J.-B. Tati-Loutard ne fait que s'élargir d'un recueil à l'autre. Après les " Poèmes de la mer " (Editions Clé) et " Les racines congolaises " (P.J. Oswald), voici " L'envers du soleil ". Ce recueil poursuit une veine partiellement mise à nu dans " Les racines congolaises ". L'auteur s'en va à la découverte de ceux qui, pour des raisons diverses, préfèrent tourner le dos au soleil. Il ramène ainsi du fond de la nuit de nombreux déclassés sociaux dont il reconstitue le poids de souffrances. Mais tout n'est pas pessimiste dans cet univers lyrique où le soleil a laissé quelques sémillantes taches à l'adresse de l'espoir et de l'amour. J.-B. Tati-Loutard est né en 1939 à Ngoyo (Congo-Brazzaville). Il a fait ses études primaires à Pointe-Noire, ses études secondaires à Brazzaville et des études supérieures de lettres à la Faculté des Lettres de Bordeaux. Il est titulaire d'une licence de lettres et d'une licence d'italien. Il a obtenu un doctorat de lettres avec une thèse sur " La littérature africaine d'expression française " qui va paraître chez Flammarion. Il prépare un nouveau recueil de poèmes qui s'intitulera " Les normes du temps ".
Quel sens et quelles forment acquiert la vie en dehors du lieu de travail ? Ce livre illustre l'importance des activités de loisirs en ce qui concerne le bien-être individuel, la formation de liens sociaux, la création de nouvelles identités et l'humanisation de la vie quotidienne. Les villes coloniales, où les conditions de vie étaient particulières et parfois difficiles, offrent un environnement privilégié pour l'observation de ces phénomènes. Le siège de cette étude est Brazzaville, alors capitale coloniale de l'Afrique Equatoriale française.
Si les premiers titres de cette poétesse congolaise circulant entre le Mayombe et les forêts boréales du Canda l’ont classée bien avant la mode d’aujourd’hui, parmi les amoureux de la nature et de la terre-mère, les inédits du cinquième cahier sous le titre «Soleil mon seul pays» donnent à lire une créatrice civique inspirée et batailleuse, dont la fraîcheur et la hauteur de l’indignation étonnent et emportent l’adhésion la plus fraternelle.
Au cours des quinze dernières années marquées au Congo par l'avènement d'une démocratie pluripartiste mais aussi par des conflits armés exacerbant les oppositions régionales, le français, langue officielle, a connu de profondes modifications : son appropriation par un nombre croissant de Congolais a eu comme corollaire une dialectalisation accrue et une consolidation de ses normes endogènes. L'ouvrage s'efforce de rendre compte de ces évolutions sociolinguistiques et de décrire la composante lexicale de ce français congolais. La description méthodique des congolismes sous forme d'un inventaire de plus de 1 350 articles montre la vitalité de cette variété régionale et l'extraordinaire créativité de ses usagers.
Cet ouvrage brosse un panorama du roman africain de langue française, entendu ici sous la double appartenance de l'Afrique noire et de la langue française. Si le français reste une langue minoritaire en Afrique, il a suscité une littérature abondante qui est envisagée ici en termes de renaissance. En effet, notamment sous l’impulsion des mouvements d’émancipation nord-américain et haïtien, on assiste à l’émergence d’une petite élite intellectuelle et artistique à Paris, au début du XXe siècle, qui ne peut concevoir son développement qu’en réaction à la connotation raciale de son exploitation historique. L’Afrique de l’origine, au-delà du mythe, apparaît donc comme le lieu privilégié de cette renaissance, qui s’exprime d’abord fortement au travers du panafricanisme et à l’ambition de produire une œuvre à l’échelle d’un continent, forte et neuve, qui pour se rénover va puiser aux sources populaires, aux mythes, aux contes. Cependant, la dimension du combat n’est pas oubliée, et des productions majeures comme les negro spirituals s’articulent à des thèmes de lutte, d’émancipation, de justice, ainsi qu’à toute une...
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
A la fin du XIXe siècle, sauf à l'intérieur de quelques garnisons et forts de traite européens de la côte, les prisons étaient inconnues en Afrique. Aujourd'hui, les Etats africains utilisent massivement le système pénitentiaire légué par les colonisateurs. Comme le rappellent chaque jour les prisons surpeuplées du Rwanda, la nuit carcérale étend désormais son ombre sur l'ensemble des sociétés au sud du Sahara. Dès les premières années de la conquête coloniale, la prison joua un rôle central dans le contrôle de la population. Des bâtiments temporaires aidèrent à contraindre et à soumettre les Africains au travail forcé et à l'impôt obligatoire, remplacés bientôt par un maillage serré de prisons permanentes, partie intégrante du décor colonial et de ses techniques répressives. Aujourd'hui, ce réseau architectural n'a été ni détruit ni remplacé, et fournit la majeure partie des bâtisses utilisées par le régime pénal des Etats contemporains. Mais la prison fait partie d'un ensemble plus vaste. Les gouvernements coloniaux dotèrent leurs territoires d'institutions destinées à connaître, comprendre et surtout quadriller les espaces et les...
Le voyage occupe une place improtante dans l'invetniond e l'histoire générale, dans l'évolution de l'histoire des idées et dans la littérature. S'il est traditionnellement perçu comme un modalité de connaissance pour l'Européen qui découvre l'Ailleurs, le voyage remplit aussi de nombreuses fonctions auprès des voyageurs africains et antillais. A travers une étude comparée des discours de voyages européens, africains et antillais, les auteurs relèvent l'intérêt du voyage dans l'évolution de l'ethnologie en Europe au XIXe siècle. Ils découvrent ensuite le renversement de l'exotisme dans les écritures africaines et antillaises au XXe siècle. Puis, ils analysent la fonction et la signification du voyage dans les cultures de l'Afrique. Ils montrent enfin son traitement dans les littératures modernes. Tel qu'il se donne à lire, cet ouvrage contribue ainsi à l'histoire générale des littératures par les différents aspects, thématique, esthétique et culturel, qui se dégagent de l'approche du voyage.
Le mouvement de la négritude été l’expression littéraire de l’élan qui a porté, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les peuples noirs à s’affranchir de la tutelle européenne. Entreprise de réhabilitation des valeurs africaines niées par le colonisateur, la négritude a cependant débordé largement le cadre de la seule littérature pour embrasser l’histoire, l’ethnologie, la religion, l’économie et la politique. C’est l’inventaire des écrits de l’intelligentsia noire avant l’indépendance qu’avait dressé la première édition de cet ouvrage : de la poésie de Senghor, avocat du métissage des cultures, aux romans dénonciateurs de l’apartheid de Peter Abrahams, de l’analyse exaltée des coutumes tribales par Jomo Kenyatta aux thèses de Cheikh Anta Diop sur l’Égypte nègre, des essais marxistes de Sékou Touré aux « pierres d’attente » du christianisme découvertes dans l’ontologie bantoue par l’abbé Vincent Mulago. La seconde édition de ce livre y ajoutait l’étude des œuvres de la génération d’après l’indépendance, qui traduisent l’exaspération ou le désenchantement devant les espérances trahies par le...
Les études réunies dans ce volume ont été offertes à Joël Thomas, Professeur de langue et littérature latines à l’Université de Perpignan, par des antiquisants et/ou des spécialistes des méthodologies de l’Imaginaire. Elles composent une série de variations autour d’un thème, « transports », envisagé au sens large et sous divers angles, littéraire, linguistique, philologique, historique, anthropologique, scientifique ou sociologique. Elles sont réunies selon six grands thèmes : de quelques moyens de transports, transports dans l’espace, dans le temps, vers l’autre monde, inspiration créatrice et confrontations. Le lecteur y découvrira tout ce que, de l’antiquité à nos jours et d’un continent à l’autre, l’esprit humain a pu transporter, et par suite confronter et faire évoluer, de façon souvent surprenante. Et parce qu’elles font souvent référence à des publications de Joël Thomas, ces contributions sont aussi des invitations à saisir l’importance de ses travaux de recherche, notamment sur la systémique et les théories de la complexité, et la diversité de leurs champs d’application.
Eté 1997 : Brazzaville souffre et pleure, petite capitale dépecée par ses milices sous l'œil inquiet des compagnies pétrolières. Des " enfants de Poto-Poto " s'entretuent dans les ruelles verdoyantes tandis que la masse des citadins se réfugie dans les campagnes voisines. Cadavres, scènes de pillage et de désolation hantent les médias internationaux. Et des arguments rationnels, politiques, économiques, sont proposés pour donner sens à ce qui, une fois advenu, apparaît comme un enchaînement prévisible. Pourtant Brazzaville bouge, Brazzaville vit, chante et danse. Des chansons populaires célèbrent sa verdure ondoyante, sa beauté naturelle, sa douceur de vivre, son ambiance nocturne, ses élégances, l'insouciance de ses " sapeurs "... Engagé bien avant les événements sanglants de l'été 1997, cet ouvrage cherche à éviter autant la complaisance que la compassion ou le cynisme. L'étude porte sur une période charnière sur le plan politique et économique : crise liée à la chute des revenus pétroliers, premiers plans d'austérité, dernières années d'un régime marxiste-léniniste, Conférence nationale et établissement du pluralisme politique, espoirs ...
This annual French XX Bibliography provides the most complete listing available of books, articles, and book reviews concerned with French literature since 1885. Unique in its scope, thoroughness, and reliability of information, it has become an essential reference source in the study of modern French literature and culture. The bibliography is divided into three major divisions: general studies, author subjects (arranged alphabetically), and cinema. Number 59 in the series contains 12,703 entries. William J. Thompson is Associate Professor of French and Undergraduate and Interdisciplinary Programs in the College of Arts and Sciences at the University of Memphis.
Littérature et sciences humaines en Suisse romande depuis 1990 / Robert Kopp (p. 499-505) suivie d'une bibliographie analytique d'oeuvres littéraires encore disponibles d'auteurs romands et parmi eux de nombreux vaudois (p. 507-530); suivi par des essais en sciences-humaines (p. 531-547).
Les trois principaux chapitres visent à souligner les convergences et les divergences entre les littératures africaine, caribéenne (littéraire antillaise + Haïti) et maghrébine. D'un chapitre à l'autre, l'organisation est conservée : présentation des précurseurs - son histoire générale de la région à partir des principaux genres (sauf favoriser le roman au détriment des autres genres comme on le constate souvent dans d'autres ouvrages). Hors cadre, les littératures québécoises (p. 51-57), francophones de Belgique et de Suisse, font l'objet d'une brève présentation dans le panorama introductif consacré à toutes les littératures francophones, p. 9-61. [SDM].
" Pour moi, on n'est écrivain qu'à condition d'être poète ". Sony Labou Tansi (1947-1995) est connu et célébré comme romancier et dramaturge. Mais qui connaît son œuvre poétique ? De cette terra incognita, seuls témoignaient quelques poèmes éruptifs lancés à la volée dans la presse et aussitôt relégués aux oubliettes de l'éphémère. À la mort de l'écrivain, on découvre dans ses papiers une multitude de poèmes manuscrits, inédits. L'ensemble constitue une mosaïque de recueils et de fragments qui obéit à un dessein aussi cohérent que son théâtre et son œuvre romanesque. La présente édition génétique les reprend tous dans le continuum chronologique de leur écriture autographe, telle qu'elle a pu être reconstituée à partir des manuscrits, de la correspondance et des entretiens.
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