
L'insoutenable légèreté de l'être
Auteure: Milan Kundera
Nombre de pages: 480Nouvelle édition revue par l'auteur. Nouvelle édition en 2020
Nouvelle édition revue par l'auteur. Nouvelle édition en 2020
«Qu'est-il resté des agonisants du Cambodge ? Une grande photo de la star américaine tenant dans ses bras un enfant jaune. Qu'est-il resté de Tomas ? Une inscription : Il voulait le Royaume de Dieu sur la terre. Qu'est-il resté de Beethoven ? Un homme morose à l'invraisemblable crinière, qui prononce d'une voix sombre : "Es muss sein !" Qu'est-il resté de Franz ? Une inscription : Après un long égarement, le retour. Et ainsi de suite, et ainsi de suite. Avant d'être oubliés, nous serons changés en kitsch. Le kitsch, c'est la station de correspondance entre l'être et l'oubli.»
Sommes-nous ou pas nos propres corps ? Et nos visages, font-ils partie du corps ? Des questions à première vue insolites, mais qui traversent notre époque sans avoir encore reçu de réponses univoques à même d'éclaircir la question du rapport problématique de l'homme et de son double corporel. C'est à de telles questions que cet ouvrage tente de répondre, en prenant comme support de réflexion l'oeuvre de Milan Kundera, qui reflète l'ambiguïté foncière du corps sous la forme d'une interrogation complexe de la corporalité de l'être, vécue plus d'une fois par les personnages de ses romans comme insoutenable.
Le présent essai propose une lecture comparée de la tétralogie américaine de Philip Roth (Pastorale américaine (1997), J'ai épousé un communiste (1998), La tache (2000), Le complot contre l'Amérique (2004)) et de quatre romans du cycle tchèque de Milan Kundera (La Plaisanterie (1967), La vie est ailleurs (1973), Le livre du rire et de l'oubli ( 1979), L'insoutenable légèreté de l'être (1984)). À travers l'éclairage des deux romanciers sur l'histoire, l'essai interroge la capacité de la fiction à subvertir les discours idéologiques et à réinventer l'histoire factuelle.
TEXT IN FRENCH. Nihilism, as it is defined by Nietzsche, has not ceased being a challenge to the literature of the 20th century. With a significance and an originality out of the ordinary, Milan Kundera has investigated the existential state resulting from the basic problem as follows: Which possibilities does one have when caught in the feeling that everything is worth something and nothing is worth while at the same time? The present study interprets the meaning and importance of Kundera's questions through an analysis of 'The Unbearable Lightness of Being' examining both how the work presents itself aesthetically and its thematic development.
« À qui parler quand on est pauvre, perdue, rejetée de sa famille ? Jbara, petite bergère des montagnes du Maghreb, parle à Allah. Il est, dans un monde qui ne voulait pas d’elle, son seul confident. Elle lui raconte sa vie, la misère, le mépris, son père ignorant et brutal qui la traite en servante, les hommes qui la traitent en objet, la découverte progressive du pouvoir de la beauté, la prostitution, la prison, le désir d’ailleurs : une vie semblable à tant de vies de femmes, aujourd’hui. Monologue fiévreux, porté par une rage irrépressible, que la verve et l’humour rendent encore plus acérée, Confidences à Allah est un témoignage direct, cru, sur l’oppression des femmes, mais aussi, et d’abord, le portrait d’une jeune fille résolue à exister par elle-même, et qui ne se soumettra pas. » La presse en parle : Elle – 25 février 2008, Le Monde des livres – 22 février 2008, Paris Match – 14 février 2008, Le Nouvel Observateur – 13 mars 2008 Éditions Léo Scheer, 2008
La littérature fait-elle exemple ? Offre-t-elle des lignes de conduite, des programmes d’action et de pensée, ou nous laisse-t-elle éternellement perplexes devant l’instabilité des normes et la diversité des situations ? La solidarité de la fiction avec l’individuel, le singulier et parfois l’insignifiant, doit-elle nous faire conclure à son impuissance à l’exemplarité ? Quelle articulation reconnaître, à ce titre, entre exemplarité esthétique et exemplarité morale ? Ce sont là quelques-unes des questions posées par ces troisièmes Cahiers du Groupe φ (Groupe de poétique historique et comparée, CELAM, Rennes 2), après ceux consacrés aux notions de contrat (Littératures sous contrat) et d’engagement (L’Engagement littéraire), publiés aux PUR sous la direction d’Emmanuel Bouju. Judith Schlanger, Alice Kaplan, Philippe Forest et vingt-six autres chercheurs – membres, associés réguliers ou collaborateurs ponctuels du Groupe φ – abordent la question, ancienne mais toujours vive, de l’exemplarité littéraire, en trois grands mouvements centrés sur le lien entre exemplarité et exemplification, sur le modèle lui-même exemplaire de...
Une jeune épouse qui refuse de se plier aux règles de sa nouvelle zadrouga — ces communautés familiales élargies de Serbie, un soldat qui revient de la guerre contre les Turcs et qui est accueilli par son père, une jeune fille qui part faire des études dans la capitale et fait la fierté de son village, un père qui sombre dans la spirale du jeu au désespoir de sa famille, telles sont ces « scènes de la vie serbe » auxquelles l’auteur nous invite à assister à travers ces nouvelles. Trois d’entre elles avaient été traduites, véritables trésors littéraires, dans des revues francophones à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, faisant connaître aux lecteurs occidentaux ce pays encore depuis peu libéré de l’Empire ottoman, et sont présentées ici dans ces traductions révisées accompagnées de deux nouvelles traductions.
Aussitôt paru dans Le Débat, en novembre 1983, cet article, traduit dans toutes les langues européennes, a sonné comme un plaidoyer et une accusation. Plaidoyer pour la défense de l’Europe centrale (Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie), qui par sa tradition culturelle appartient tout entière et depuis toujours à l’Occident, mais que celui-ci ne voit plus qu’à travers son régime politique, ce qui n’en fait qu’une partie du bloc de l’Est. Une culture qui n’est pas l’apanage d’une élite, mais la valeur vivante autour de laquelle se regroupe le peuple. Une accusation, car la tragédie de ce foyer des "petites nations", qui se savent périssables, est en fait celle de l’Europe elle-même qui ne veut pas le voir et ne s’est même pas aperçue de leur disparition. N’est-ce pas là un des signes de sa propre disparition ? La valeur du texte ne vient pas seulement de son habileté démonstrative, mais de la voix si personnelle, véhémente, angoissée de l’auteur, Milan Kundera, qui apparaît alors comme un des plus grands écrivains européens. Le voilà remis à la disposition du lecteur d’aujourd’hui, présenté par Pierre Nora, et précédé...
Édition augmentée de Note de l'auteur sur l'histoire de la pièce
Cette lettre est un véritable manifeste pour la liberté individuelle ! Pourquoi est-ce que je ne peux pas me coucher sur toi dans la jubilation d’une tendresse presque asexuée et, tout en faisant l’amour, parler de ce que nous avons mangé à dîner ou du temps qu’il fait ? Avant le Printemps de Prague, Jana Černá écrit à son amant Egon Bondy. Elle lui parle d’amour, de philosophie, de sexe, de désir. Une liberté de ton à l’image d’une femme au caractère et à l’esprit affirmés, qui a marqué ses contemporains. Jana Černá est un personnage clé de l’underground pragois sous le stalinisme. Ses textes ont été publiés pour la première fois en République tchèque en 1990. Tiré d’un poème de l’auteure, le titre souligne à la fois la charge érotique du texte et la rébellion extraordinaire d’une femme face à l’ambiance étouffante en Tchécoslovaquie d’après-guerre. EXTRAIT Le moindre crétin de base qui a échappé au métier de comptable salarié grâce à un simple concours de circonstances (et qui donc ne comptabilise pas pour le plus grand bien et le plus grand épanouissement de l’État juste parce qu’il est doté d’un...
Qu’elles soient joyeuses ou tragiques, visibles ou non, les ruptures rythment notre existence, nous transforment, nous remettent profondément en question. Comment conjuguer ces « bifurcations » de nos vies que sont les ruptures avec l’idée de notre identité, une et constante ? Nous révèlent-elles la multiplicité de nos identités possibles, ou le fait que nous nous affirmions progressivement, au fur et à mesure de ces « accidents » de la vie ? Nous épurent-elles ou nous démolissent-elles ? Pour la philosophe Claire Marin, la définition de notre être est tout autant dans nos sorties de route que dans nos lignes droites, dans les accrocs au contrat que dans le contrat lui-même. Naissances ou deuils, séparation ou nouvel amour, besoins d’ailleurs : nos oscillations, nos vacillements fragilisent nos représentations, ébranlent nos certitudes, certes. Mais ils soulignent aussi fondamentalement la place de l’imprévisible, et questionnent notre capacité à supporter l’incertitude, à composer avec la catastrophe et, en les surmontant, à parfois démarrer une nouvelle vie.
Dans la ligne d’ Un coeur intelligent, Alain Finkielkraut s’attache cette fois au thème de l’amour tel qu’il est traité dans quatre grands romans, de facture, d’époque et d’auteurs très variés : Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves Ingmar Bergman, Les Meilleures IntentionsPhilip Roth, Professeur de désir Milan Kundera, L’insoutenable légèreté de l’être Comme il excelle à le faire, il donne à ceux qui n’ont pas lu le livre les clefs pour comprendre l’intrigue, en même temps qu’il éclaire le roman de sa vaste culture, littéraire et philosophique ; sous sa plume, les personnages de ces quatre romans deviennent des enjeux existentiels lestés de tout le poids qu’une lecture distraite, ou conventionnelle, laisse inaperçu. Tout le monde a lu ou entendu parler de La Princesse de Clèves ou de L’insoutenable légèreté de l’être, mais personne n’avait su donner à ces livres l’écho qu’Alain Finkielkraut leur confère. Encore une fois, il s’attache à montrer tout ce que peut la littérature, c’est-à-dire nous permettre une meilleure lecture de nos vies.
Nouvelle édition revue par l'auteur [1987]
"Il n'y a que trois règles ici, Rosa. La première : ne jamais tomber amoureuse. La deuxième : ne jamais voler l'homme d'une autre. La dernière : ne boire que du champagne millésimé". Seule l'une de ces trois règles sera respectée. J'avais quinze ans quand j'ai pris la route ce matin-là, et une seule idée en tête : rejoindre le Pays Basque, devenir couseuse d'espadrilles, et échapper à mon destin. Jusqu'à ce que je rencontre les Demoiselles. Des femmes fantasques et mystérieuses vivant au milieu des livres, des jarretières et des coupes de champagne. Qui étaient-elles ? Quel secret cachaient-elles ? Libres et incandescentes, accompagnées d'un majordome plus grand qu'une cathédrale, d'un chauffeur louche et d'un perroquet grivois, les Demoiselles n'auraient jamais dû croiser ma route. Pourtant, ces femmes ont changé ma vie. (Payot)
Qui est vraiment Milan Kundera, auteur farouche et peu médiatique, dont on fête en 2019 les 90 ans ? Le journaliste Jean-Dominique Brierre dévoile les pans méconnus de la vie de l'auteur nobélisable de La Plaisanterie et de L'Insoutenable légèreté de l'être, notamment à partir de témoignages et de documents inédits. Milan Kundera fête ses 90 ans ! É voquant les personnages de La Guerre et la Paix, Milan Kundera remarque que leur vie est " un voyage dont les phases successives sont non seulement différentes, mais représentent souvent la négation totale des phases précédentes ".Ce parcours en ligne brisée est aussi celui de l'auteur de La Plaisanterie.Son œuvre est faite des mêmes contradictions. Né en 1929, destiné à une carrière de musicien, il devient poète communiste, puis romancier critique à l'égard du régime. Exclu du Parti, mis à l'index après l'écrasement du Printemps de Prague (1968), il quitte la Tchécoslovaquie sept ans plus tard pour s'installer en France. Ni dissident ni exilé, il continue toutefois à écrire en tchèque (L'Insoutenable Légèreté de l'être), avant de choisir le français comme langue unique d'écriture et d'"...
Hongrie, début du XXe siècle. Abandonné à la naissance, Béla est élevé par une vieille prostituée antipathique. À quatorze ans, dans l’espoir de retrouver sa mère et las de cette vie tourmentée par la pauvreté, il quitte son village pour Budapest, ville de toutes les promesses. Employé comme garçon d’hôtel, il ne tarde pas à être exposé aux lumières et aux ignominies de la capitale. À travers Béla, János Székely raconte son adolescence douloureuse dans cette Hongrie pittoresque de l’entre-deux-guerres, au temps du chômage et du fascisme, au rythme des csardas, dans un déchaînement de sensualité, de misère, de luxe et d’étrange veulerie.
« J’ai écrit ce roman à Finchley, dans la banlieue de Londres, en 1946-1947. À une époque où ma femme et moi étions très proches du suicide. »Inspiré par la propre expérience de l’auteur, roman d’une modernité étourdissante et au lyrisme enivrant, Le Roman de Londres suit le destin d’un exilé russe et de sa femme à Londres après la Seconde Guerre mondiale. Le prince Repnine et son épouse Nadia errent dans une ville qui les ignore, ils s’efforcent d’exister dans le désespoir de l’inappartenance. Dès le début de leur histoire se dessine la terrible voie du prince pour échapper au désespoir. Cette fatalité déterminera le cours de ce roman épique, rappelant la difficulté de l’homme à vivre dans la confusion de l’époque contemporaine. Livre de toutes les personnes déplacées, portrait d’une ville tentaculaire, Le Roman de Londres est en même temps un roman d’amour poignant et une réflexion profonde sur le libéralisme effréné.Miloš Tsernianski (1883-1977) fut l’un des plus importants poètes et romanciers serbes, chef de file de l’avant-garde yougoslave. Diplomate à Berlin et à Rome au début de la Seconde Guerre mondiale,...
I. Le geste brutal du peintre : sur Francis Bacon II. Romans, sondes existentielles III. Les listes noires ou divertimento en hommage à Anatole France IV. Le rêve de l'héritage intégral V. Beau comme une rencontre multiple VI. Ailleurs VII. Mon premier amour VIII. Oubli de Schönberg IX. La Peau : un archi-roman Milan Kundera.
À sept kilomètres de Smiljevo, haut dans les montagnes, dans un hameau à l’abandon, vivent Jozo Aspic et ses quatre fils. Leur petite communauté aux habitudes sanitaires, alimentaires et sociologiques discutables n’admet ni l’État ni les fondements de la civilisation – jusqu’à ce que le fils aîné, Krešimir, en vienne à l’idée saugrenue de se trouver une femme.Bientôt, il devient clair que la recherche d’une épouse est encore plus difficile et hasardeuse que la lutte quotidienne des Aspic pour la sauvegarde de leur autarcie.La quête amoureuse du fils aîné des Aspic fait de ce road-movie littéraire une comédie hilarante, où les coups de théâtre s’associent pour accomplir un miracle à la Combe aux Aspics.Originaire d’un petit village de Croatie, Ante Tomić, né en 1970, a obtenu un diplôme en philosophie et sociologie de l’université de Zadar. Devenu journaliste pour le quotidien Slobodna Dalmacija, il démontre un rare talent littéraire qui se confirme en 2000 dans son premier roman Što je muškarac bez brkova (Qu’est-ce qu’un homme sans moustache). Trois ans plus tard, il publie Ništa nas ne smije iznenaditi (Rien ne doit nous...
Roman philosophique. Roman psychologique (intime).
Postface traduite du polonais par Margot Carlier
A quoi est dû l'écart grandissant entre ce que nous avons envie de vivre (solidarité-générosité-démocratie) et ce que nous avons envie de consommer comme culture (transgression-violence-solitude-désespoir) ? La littérature contemporaine aurait-elle définitivement renoncé à ce but-là ? se demande Nancy Huston qui illustre sa réflexion de lectures personnelles.
Le clergé catholique a entrepris, à partir de la Restauration, un effort de reconquête de la société et de l'Etat ; au même moment, les protestants se découvraient, eux aussi, le devoir de convertir la France. D'où l'éclosion d'une vive controverse. Mais, au-delà du champ théologique, l'antiprotestantisme va assumer une dimension idéologique et politique, se fondant à l'antisémitisme ambiant.
Grand entretien – La nation, le politique et le religieux par Régis Debray et Jean- François Colosimo Je a n- F r a n ç o i s Colosimo e t Régis Debray ne partagent pas la même vision de la laïcité, un concept qui s’est forgé au temps des Capétiens. Si le premier oppose le pouvoir temporel (État) au pouvoir spirituel (Église), le second démontre que le politique n’a jamais existé sans référence à une verticalité. Doss i e r : Milan Kundera, le maître de l’ironie → Entre...
Demian est le roman d'une adolescence, roman d'initiation, de formation, et l'un des chefs-d'œuvre du genre. Le sous-titre est : Histoire de la jeunesse d'Emile Sinclair. Demian enseigne à Emile Sinclair à ne pas suivre l'exemple de ses parents, à se révolter pour se trouver, à s'exposer à la fois au divin et au démoniaque, à traverser le chaos pour mériter l'accomplissement de sa destinée propre. Les trois romans de Hermann Hesse, Demian, chronologiquement le premier, Siddhartha et Le Loup des steppes offrent autant de variations sur le thème de l'étranger qui ne doit pas craindre de se séparer de la société, de " vivre en dehors ".
Cet ouvrage interroge la nature des rapports entre littérature et révolution, tels qu'ils sont représentés dans deux textes de George Orwell - Hommage à la Catalogne et 1984 - et deux romans de Milan Kundera - La vie est ailleurs et L'insoutenable légèreté de l'être. Il s'intéresse plus particulièrement à la critique de 1984 par Milan Kundera, qui dans son essai sur L'art du roman, y dénonce l'utilisation de la forme romanesque à des fins politiques. A travers l'analyse détaillée de ces oeuvres spécifiques, ce sont plus largement les fondements esthétqiues et hhistoriques de cette critique que l'auteur de cet ouvrage se propose d'étudier.
Les yeux couleurs de pluie : les tribulations d'une étudiante en médecine, affectée à Brest du jour au lendemain. Le bout du monde à ses yeux... Pour Marie-Lou, c'est une nouvelle vie qui commence, loin des siens, de ses montagnes. L'insouciance et la légèreté de ses vingt-cinq ans se mêlent à la dure réalité de l'hôpital, des gardes aux urgences, du contact avec la maladie. Et au beau milieu de la nuit, cette Savoyarde en ciré jaune croisera Matthieu, un surfer, interne en ORL. Ce loup solitaire, mystérieux et poétique, arrivera-t-il à lui faire une place dans sa vie ? Rencontres, passions, non-dits, doutes... l'histoire d'un envol, l'histoire d'une vie. La baie des Trépassés, le port du Moulin-Blanc, le brouillard de Brest donnent une dimension romantique à ce beau roman sensible et drôle, riches d'histoires sur le milieu médical, et qu'on ne lâche pas.
Nouvelle édition en 2020
Analyse : Roman psychologique (intime).
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