
Emma, princesse vampire, est face à un nouveau dilemme... Après les évènements qui a fait qu’elle redevienne une princesse vampire, Emma est face à un nouveau dilemme. C’est avec l’aide de ses amis, vivants et morts, qu’elle devra une nouvelle fois faire pas mal de choix qui changeront les brides de certains destins ; dont le sien et celui de son ange gardien. Entre les secrets, les révélations et les châtiments, venez découvrir les choix de notre princesse héritière. Retrouvez Emma Jenkins dans le second tome de cette saga fantastique pleine d'actions et d'aventures, entre passion, trahison et destinée. EXTRAIT J’en étais à me demander pourquoi elle choisissait de prendre la situation à la légère alors qu’elle était d’une gravité extrême. Cela fait-il partie du destin ? Est-il aussi écrit que cet amour est voué à une fin tragique ou ignore-t-elle cette partie du futur ? Ma mère n’a-t-elle point de cœur ou fait-elle cela uniquement pour me rassurer ? J’étais plongée dans ces sombres pensées quand un énorme vacarme venant du hall brisa le cours de mes réflexions. — Tu as entendu ? demandai-je à Gabriel. — Il faudrait être sourd...
Débarrasser l’humanité d’un « pou » malfaisant, satisfaire son idéal de justice et s’illustrer par un geste sublime : tels sont les motifs qui poussent Raskolnikov à tuer une vieille usurière. Mais sitôt que la hache s’abat sur sa victime, l’étudiant perd la raison... Nul mieux que Dostoïevski n’a peint la déchéance d’un homme : terrifié à l’idée qu’on découvre son crime, en proie au remords, au délire et à la paranoïa, le coupable erre dans les bas-fonds de Saint-Pétersbourg, rongé par cet insoutenable secret. Histoire d’une plongée en enfer, Crime et châtiment (1866), qui tient à la fois du roman policier, de la fresque sociale et du récit psychologique, est l’un des chefs-d’œuvre de la littérature russe.
Où s'achève le délit ? Où commence le crime ? Avant d'appréhender la question de la criminalité, ce phénomène inhérent à toute société humaine, les détenteurs de l'autorité, au cours du Moyen Âge, cherchent à qualifier le crime plus précisément, à partir des données juridiques - coutumières, canoniques et civiles dont ils disposent. Le crime désigné, des mesures de prévention tentent de réduire le nombre des criminels potentiels. Grande confiance est faite à l'éducation, celle des parents, dès la première enfance, celle des hommes d'Église auprès de leurs ouailles? celle que déploient aux yeux des citoyens les diverses pénalités publiquement infligées. Des contraintes policières visent à désarmer les populations et à réduire les déplacements ou les rassemblements suspects. L'ensemble de cette prévention comporte toutefois des lacunes liées aux manques de moyens ou aux principes qui l'inspirent. Quand la prévention a échoué, la justice s'abat sur les criminels. Une gamme très ouverte de pénalités, privilégiant les peines corporelles, gradue finement la signification de sanctions, de la simple compensation d'un dol à la marque...
Crimes, prisons, décapitations, autant de thèmes qui parcourent l'art depuis la Révolution française. Qu'il soit politique ou crapuleux, le crime de sang décuple par l'image sa puissance fantasmatique. De Goya à Grosz en passant par Delacroix, une exploration de la représentation du crime dans l'art.
Hiver 2009. Mathieu Blanc, banquier londonien est victime d'une attaque cérébrale. Il a été châtié. Mais de quoi était-il coupable ? Années 2000 : En apparence, Mathieu mène une vie familiale rangée, sa carrière dans la fi nance est bien lancée. En réalité, il fréquente un enfer qui n'est même pas pavé de bonnes intentions, l'enfer de la course à l'argent et au sexe. Lorsqu'il croise en même temps deux obstacles, une crise mondiale et une femme envoûtante, son univers chancelle. Malgré les conseils de son ami Ruben, extravagant trader new-yorkais, la chute paraît inévitable. Mathieu se relèvera-t-il ? Diffi cile lorsqu'on n'est jamais tombé. Ce roman drôle et cruel à la fois montre qu'une chute vertigineuse peut aussi être jubilatoire, puisqu'il n'y a pas que le sexe et l'argent dans la vie. Quoique.
L’histoire de la criminalité au Moyen Âge est entachée d’une image noire et sanglante, qui renvoie aux archétypes traditionnels de la violence médiévale : ce Moyen Âge serait en effet le conservatoire des pratiques judiciaires les plus irrationnelles et le laboratoire de la torture, comme des peines les plus cruelles. Au-delà des clichés, Valérie Toureille s’attelle à démêler les complexités de la justice médiévale à partir du XIIIe siècle : existe-t-il une hiérarchie judiciaire (justice seigneuriale, justice royale, justice urbaine) ? Qui en sont les juges ? Le système évolue-t-il avec le renforcement de l’autorité royale ? Derrière la diversité des crimes et l’hétérogénéité des acteurs surgit une véritable sociologie criminelle, riche d’enseignement sur la société médiévale et ses valeurs. On découvre ainsi que le Moyen Âge connaît une criminalisation spécifique de certaines transgressions (vol, blasphème...), bien différente de celle qui a cours dans nos sociétés contemporaines. De même, le traitement du crime par la justice accorde une place conséquente à une résolution des conflits par l’accord et la réparation,...
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