Le mystère du zéphyr
Auteure: Anne Bernaville
Nombre de pages: 337Janvier 2033. L'hiver du siècle. Paris, muré dans la neige et le silence. Au coeur de la nuit polaire, une survivante. Angie, seize ans. Cette nuit-là changera son destin.
Janvier 2033. L'hiver du siècle. Paris, muré dans la neige et le silence. Au coeur de la nuit polaire, une survivante. Angie, seize ans. Cette nuit-là changera son destin.
Item no. 1199 in Two centuries of French drama, 1760-1960, a collection of 2,014 French dramas housed in the Department of Special Collections, University of Florida Libraries.
Après avoir survécu à une violente agression lors de ses 15 ans, Melinda Violette pensait ne plus jamais entendre parler de cette étrange marque qui se trouvait sur la main de son sauveur. Pourtant, dix ans plus tard, lorsque son meilleur ami, Nathan, lui offre un pendentif en tout point identique à cette marque, elle commence à se poser des questions sur lui. Surtout, lorsqu'elle se réveille invisible le lendemain matin. Elle s'empresse d'appeler Nathan à la rescousse. Même s'il continue de nier toute implication dans ce qu'il lui arrive, Melinda est convaincue qu'il lui cache quelque chose. D'autant plus qu'il n'a pas l'air très surpris de la trouver dans cet état. "Une aventure palpitante et addictive, entre amour impossible, suspense et aventure, qui vous fera passer par tout un tas d'émotions ! " 1001 Chroniques en folie
La princesse Shammar, petite-fille du roi des djinns, a grandi dans la belle cité blanche de Jannah, sans connaître ses origines magiques. Bien déterminée à être la seule et unique souveraine du Royaume de Ba'al, sa tante, la maléfique Khalifa, essaiera par tous les moyens de se débarrasser d'elle. Shammar découvrira bientôt ses dons exceptionnels mais cela suffira-t-il ?
Chacun peut éprouver le vent, sa présence, sa force, son influence. Parfois il crie et rugit, parfois il soupire ou caresse. Certains vents glacent, d’autres étouffent. Si l’homme a depuis l’Antiquité témoigné de cette expérience, il s’est longtemps heurté au mystère de ce flux invisible, continu, imprévisible. Le vent, aux traits immuables, échapperait-il à l’histoire ? Il n’en est rien. Dans cet essai sensible, Alain Corbin nous guide au fil d’une quête initiée à la fin du xviiie siècle pour comprendre les mécanismes d’un élément longtemps indomptable. C’est le temps de nouvelles expériences du vent, vécues au sommet de la montagne, dans les déserts ou, pour la première fois, dans l’espace aérien. Se modifient alors les manières de l’imaginer, de le dire, de le rêver, inspirant les plus grands écrivains, à commencer par Victor Hugo. Un champ immense se dessine aux yeux de l’historien ; d’autant que le vent est aussi, et peut-être avant tout, symbole du temps et de l’oubli. Historien spécialiste du xixe siècle, Alain Corbin est mondialement reconnu pour son approche novatrice sur l’historicité des sens et du sensible,...
Depuis le début des années 1970, les graffeurs décorent l’extérieur des rames de métro avec des tags toujours plus grands et toujours plus élaborés. Dans le schéma primitiviste, les graffeurs, en tant qu’artistes en marge, offraient de nouvelles perspectives à la société américaine. Ils tendaient un miroir à la culture hégémonique. Les références aux médias ou à des elements culturels que les artistes intégraient dans leurs créations revêtent aujourd’hui une importance toute particulière, parce qu’elles représentent un point de contact entre les cultures et ont rendu cette « sousculture » plus accessible à son nouveau public. Cette forme d’expression résolument rebelle est ici analysée par Margo Thompson qui met en relation l’art du graffiti avec l’art contemporain. Tout comme les graffeurs apportaient une voix à une classe ethnique sous-représentée, l’auteur, grâce à une thèse originale, tend à servir d’ambassadrice à cette forme d’art souvent méconnue.
À l’été 1822, au large de Cuba, Aaron Smith était capturé par des pirates alors qu’il s’en retournait de la Jamaïque en Angleterre. Le malheureux fut retenu des mois durant parmi eux et participa à leur vie de rapines. Arrêté par les autorités espagnoles, il fut ensuite livré à la justice britannique, qui lui intenta, en 1823, un procès pour actes de piraterie. Verdict : acquitté. Certains des témoins de ce procès avaient pourtant reconnu en lui tout simplement le chef des pirates qui, le visage barbouillé de poudre à canon et le sabre d’abordage au poing, les avait soulagés de leurs biens au large du récif cubain... En 1824, il faisait paraître à Londres Les Atrocités des pirates, un livre caméléon à la fois roman d’aventures et plaidoyer en faveur de son innocence. Il n’en fallait pas davantage pour que l’on menât autour de cet équivoque personnage une enquête approfondie, dont les conclusions extraordinaires dévoilent une page sensationnelle de l’histoire universelle de la piraterie.
Un livre lumineux, bouleversant, qui déborde de romantisme et de passion. Printz Medal 2015.