Le Dictionnaire du Diable
Auteure: Ambroce Bierce
Un dictionnaire où la tendresse et le cynisme percutent parfois le lecteur en plein visage et qui reste aujourd'hui, très largement actuel dans ses définitions .
Un dictionnaire où la tendresse et le cynisme percutent parfois le lecteur en plein visage et qui reste aujourd'hui, très largement actuel dans ses définitions .
Il est celui dont «la plus grande ruse est de faire croire qu’il n’existe pas», disait Baudelaire. Il apparaît ou se dissimule sous les aspects les plus divers. Ses noms eux-mêmes sont innombrables. Il est le Diable - Celui qui divise, en grec - ou Satan - l’Adversaire, en hébreu - mais aussi Asmodée, Astaroth, Belzébuth, le Démon, Lucifer, le Malin, Méphistophélès, le Moloch... Il est l’Ange des Ténèbres, le Serpent de la Genèse, le Séducteur, il fait du genre humain l’enjeu de son éternel combat avec Dieu. Se faisant l’héritier des grands démonologues, Roland Villeneuve a tenté de dresser l’inventaire de ses manifestations. Il les a traquées à travers l’histoire, la littérature, l’architecture, la musique, les livres savants comme le savoir populaire, scrutant lieux, personnages célèbres, procès en sorcellerie, possessions, pactes sataniques sans ignorer le monde d’aujourd’hui. Par son ampleur (plus de 2 000 entrées) et sa manière à la tais sérieuse et divertissante, le Dictionnaire du diable est un monument, enrichi dans la présente édition d’un index des lieux, de multiples renvois et de 140 illustrations in texte.
Ce dictionnaire est le répertoire des ancêtres du diable : dieux mauvais, démons, esprits des morts, et de ses émanations, vampires, loups-garous. Il présente les penseurs, les écrivains, les peintres, les musiciens qui l'évoquent, les théologiens, les philosophes qui l'ont étudié. Après plusieurs millénaires d'esprits malfaisants, de démons tourmenteurs, le christianisme a inventé le Diable, héritier du Serpent et des Satans de la Bible. Le diable a droit à notre reconnaissance, car il prend à sa charge le Mal dans la vie et dans l'Histoire, qui est l'oeuvre de la diabolique espèce humaine. Entre superstition, religion et réalité, il joue tous les rôles : bourreau, victime, fantasme, tentation, péché, plaisir, malheur. On le décrit, on l'évoque, on le représente, on le fait parler et chanter. Ecrivains, poètes, peintres, musiciens, si l'on doute de lui, le font exister. Avec Dieu pour complice, l'Enfer pour royaume, il se manifeste dans la vie, dans l'Histoire, dans la culture. Aujourd'hui, on le combat, on l'exorcise ou on le célèbre.
Scepticisme, dérision, causticité, lucidité, telles sont les vertus cardinales - ou les impardonnables travers - du père du Dictionnaire du Diable qui avait pour devise : "Rien n'a d'importance". Redoutable et redouté journaliste, dictateur littéraire capable d'établir ou de torpiller une réputation, brillant satiriste - peut-être le meilleur depuis Voltaire - mais aussi poète et nouvelliste, Ambrose Bierce (1842-1914) doit sa place dans la littérature américaine à un remarquable talent de conteur d'histoires aussi noires qu'hallucinées.
Après plusieurs millénaires d'esprits malfaisants, de démons tourmenteurs, le christianisme a inventé le Diable, héritier du Serpent et des Satans de la Bible. Le diable a droit à notre reconnaissance, car il prend à sa charge le Mal dans la vie et dans l'histoire, qui est l'oeuvre de la diabolique espèce humaine. Les démons et le diable n'ont pas cessé de nous hanter. On y croit ou pas, mais ce rusé se sert même de l'incroyance, affirmant, avec Dostoïevsky et Baudelaire, qu'il est plus fort encore s'il n'existe pas. Entre superstition, religion et réalité, il joue tous les rôles: bourreau, victime fantasme, tentation, péché, plaisir, malheur. On le décrit, on l'évoque, on le représente, on le fait parler et chanter. Ecrivains, poètes, peintres, musiciens, si l'on doute de lui, le font exister.. Avec Dieu pour complice, l'Enfer pour royaume, il se manifeste dans la vie, dans l'Histoire, dans la culture. On le traque et on le célèbre à la fois en chassant les sorcières et en diabolisant ce que l'on craint ; d'autres l'adorent. Aujourd'hui,on le combat, on l'exorcise ou on l'adore. Des catholiques les plus conservateurs aux satanistes, on y croit dur comme...
Quand donc est né le Diable ? Et où ? Car l'Ennemi suprême de Dieu que nous connaissons n'a pas existé de tout temps, ni en tout lieu. Ni les Hindous, ni les Chinois, ni les Egyptiens, ni les Grecs, ni les Romains, ni bien d'autres encore, tous pourtant religieux, n'ont conçu de Grand Ennemi infernal. On le croit défini par la Bible. Il n'en est rien car, dans le premier livre de l'Ancien Testament qui fait mention de lui, le Livre de Job, il est représenté, bien après la Création, siégeant dans le Conseil céleste, auprès des anges, et s'entretenant avec Dieu en termes amicaux. La vaste histoire généalogique du Malin, que voici, traverse les siècles, les continents et les cultures. Gérald Messadié y démontre que le Diable, en tant qu'ennemi du Dieu suprême, fut d'abord une invention politique, destinée à renforcer le pouvoir du clergé iranien du VIe siècle avant notre ère. Et que, par la suite, et notamment sous l'Inquisition, la lutte contre Satan fut surtout un fonds de commerce, destinée à enrichir les clergés par la confiscation des biens des " possédés " et autres " suppôts de Satan ". Le Diable est encore de nos jours un personnage politique :...
Fruit de la première thèse de doctorat en français sur le démon, cet ouvrage de théologie convoque aussi les analyses de l'histoire et des sciences, les textes de la Bible et des Pères de l'Église ainsi que ceux des religions non chrétiennes.S'appuyant principalement sur l'oeuvre de saint Thomas d'Aquin pour examiner les problèmes des exorcistes actuels, l'étude offre une réflexion spéculative au service d'une urgence pastorale.Sont décrits les diaboliques tactiques ordinaires (tentations) et extraordinaires (vexations, obsessions, infestations et possessions), et les liens maléfiques, en particulier la magie, le spiritisme ou les vices.Mais le démon reste soumis à Dieu. C'est pourquoi sont détaillés également les armes pour la contre-attaque et les remèdes que saint Thomas propose, avec la Tradition de l'Église, contre l'Ennemi infernal. Les rôles du Christ, de la Vierge, des anges, des sacrements ou des exorcismes, mais aussi des vertus morales ou de la prière sont ainsi précisés.C'est un véritable manuel de combat spirituel que l'Aquinate a rédigé sans le vouloir, en éparpillant dans ses écrits des centaines d'affirmations, qui formaient autant de...
Le Dictionnaire des Littératures de langue anglaise réunit plus de sept cents articles empruntés au fonds de l’Encyclopaedia Universalis. De Chaucer et Shakespeare à Paul Auster, David Lodge et Kazuo Ishiguro, la vie et l’œuvre des principaux écrivains de langue anglaise et le périple d’une langue qui a débordé ses frontières initiales pour susciter des formes littéraires inédites et des modes d’expression nouveaux dans les territoires anglophones : Grande-Bretagne et États-Unis bien sûr, mais aussi Asie, Afrique et Océanie. Un inépuisable inventaire de la création littéraire en langue anglaise, avec un accent mis sur la littérature contemporaine et les nations émergentes, sous la conduite des guides les plus qualifiés. Un index facilite la consultation du Dictionnaire des Littératures de langue anglaise, auquel ont collaboré plus de 150 auteurs parmi lesquels Jacques Darras, Pierre-Yves Pétillon, Diane de Margerie, Antoine Compagnon...
Outil métalinguistique à fonction prescriptive et normative, le dictionnaire s'est vu, à un moment particulier de son histoire, réinvesti par des auteurs qui, comprenant l'intérêt de sa structure et de son statut d'autorité, se sont plu à le détourner dans une perspective comique ou corrosive. En croisant des données liées au progrès relatif de l'instruction publique, à l'essor des sciences et au foisonnement du discours accompagnant celles-ci à l'aube du xixe siècle, cet ouvrage étudie le contexte qui a favorisé le développement d'une pareille parodie générique. Il cherche surtout, en cheminant des saillies dictionnairiques qui émaillent la petite presse jusqu'aux définitions onomastiques et potaches du Petit Bottin des lettres et des arts, en passant par le célèbre projet de Dictionnaire des idées reçues de Flaubert, à interroger les logiques, effets et enjeux de ces discours aussi faussement scientifiques que véritablement satiriques.
Black lives matter, Diplomatie du masque, Ehpadisation, Fatigue à distance, Javel, Silo, Peste noire ... Autant de mots qui sont apparus ou ont pris une nouvelle signification avec la crise du Covid-19. Comme beaucoup, Alain Zenner a voulu comprendre et a consacré son confinement à l'étude de virus, récoltant des données, recueillant des opinions, rassemblant des réflexions susceptibles de l'éclairer.Il en a couché les principales sur papier. Puis il a classé ses fragments, donnant forme à ce dictionnaire érudit. Mais son périple s'accompagnait aussi de légèreté et d'humour. Tous les jours il s'amusait d'expressions nouvelles, découvrait des vidéos virales, divertissantes, musicales, artistiques. De cela aussi il a rendu compte, en ajoutant adages, aphorismes et autres axiomes en lien avec la crise. D'où ce dictionnaire aussi ludique.
Ce livre explore un pan de l'imaginaire occidental. Le diable traditionnel n'en est pas le centre unique, car les métamorphoses de la figure du Mal indiquent aussi la façon dont les hommes conçoivent leur destin personnel et l'avenir de leur civilisation. Etroitement imbriquées, l'histoire du corps, celle de la culture, celle du lien social, fournissent les lignes de force d'une enquête qui embrasse le deuxième millénaire de l'ère chrétienne. Tout commence avec l'affirmation de Satan sur la scène européenne, à partir du XIIe siècle, sous la double forme du terrible souverain luciférien régnant sur une immense armée démoniaque, et de la bête immonde lovée dans les entrailles du pécheur. Trois chapitres interrogent ensuite l'énigme de la chasse aux sorcières des XVIe et XVIIe siècles. L'époque des Lumières voit le crépuscule du diable, tant à cause de l'accentuation d'un processus d'intériorisation du Mal que de l'invention du fantastique en littérature. Une vigoureuse accélération de ces mouvements marque les XIXe et XXe siècles. L'avant-dernier chapitre traque les métamorphoses subtiles du démon intérieur, compagnon d'un sujet occidental de plus...
« L’antilepénisme ordinaire a pris l’allure d’une machine fonctionnant dans un seul sens : empêcher de connaître et de comprendre l’ennemi désigné, interdire toute discussion libre et informée sur le mouvement lepéniste, substituer l’indignation morale et la condamnation diabolisante à la critique argumentée et à la lutte politique. La diabolisation de l’adversaire empoisonne le débat démocratique et profite en définitive au parti lepéniste, qui tire habilement parti de la dénonciation vertueuse et consensuelle dont il est l’objet pour se poser en victime du “Système”. Toute dénonciation extrémiste fait le jeu de l’extrémisme dénoncé. Le seul moyen de dire clairement en quoi les orientations du FN sont inacceptables consiste à analyser le programme de ce parti sans lunettes idéologiques, donc sans le lire à travers les stéréotypes accumulés au terme d’une longue tradition “antifasciste”. Face au FN, il faut d’abord vouloir le connaître, puis le juger sur ses résultats locaux, dans la gestion municipale, et non plus seulement sur ses intentions déclarées ou ses projets. » Ce livre, qui analyse la diabolisation dans tous...
Une étude historique et psychologique sur la peur du diable, qui éclaire le véritable combat spirituel. Au diable la peur !
Un outil qu'il est indispensable aux intellectuels ! UN OUTIL QU'IL EST INDISPENSABLE AUX INTELLECTUELS Cher lecteur de cette quatrième de couverture, Vous êtes un intellectuel (ne voyez dans cette affirmation aucune flagornerie, mais une simple manœuvre pour vous inciter à acheter le livre, si ce n'est déjà fait). Étant un intellectuel, vous maniez les mots, les locutions, les citations ; vous utilisez des noms propres, évoquez des dates et des lieux – bref, vous faites des phrases, organisez des pensées parfois géniales (mais pas toujours). Un exemple ? À Maurice, qui vient de vous demander : " Eh, Paulo, d'où que je pose le carton avec les morceaux du nain de jardin que tu voulais éclairer la pelouse avec ? ", vous répondez : " Là, dans le coin ! " Et tout à coup, paf ! (voir ce mot), vous avez un doute... Quel coin ? Et d'abord, qu'est-ce qu'un coin ? Quel est le sens de " coin " ? Y a-t-il d'autres sens à " coin " ? Alors, tout naturellement, vous ouvrez le dictionnaire que vous avez en main. Vous cherchez le mot " coin " et vous en trouvez la définition : COIN demi-canard Vous venez, peut-être sans le savoir, d'indiquer à Maurice qu'il doit poser le...
Messes noires, profanations de cimetière, meurtres rituels, rock et BD sataniques : les sectes sataniques se développent de façon préoccupante. Elles constituent un véritable laboratoire du futur dans la mesure où le satanisme gagne du terrain lorsque les hommes sont affaiblis, humiliés, niés dans leur humanité. Ce néosatanisme se présente comme la religion du XXIe siècle, au nom du droit du plus fort, du mépris des pauvres et de l’élimination des faibles. L’auteur dénonce avec un style vif, dans un livre très documenté, la collusion qui s’accomplit entre certains courants conservateurs de l’Église catholique et une extrême droite néofasciste et néonazie avec la bénédiction d’une partie du monde universitaire. Il démontre, preuves à l’appui, la responsabilité des États-Unis dans cette nouvelle croisade contre les organisations antisectes. Un appel vibrant à tous les citoyens, croyants ou athées, pour défendre les valeurs de la République.
Si ces épigrammes devaient être gravés sur la tombe d'un monument, ce serait un monument à la liberté... de pensée. Que l'on en juge : "Nous nous soumettons à la majorité parce que nous y sommes tenus. Mais nous ne sommes pas forcés de donner à notre attitude soumise une posture respectueuse." Ou encore : "Chez celui qui n'a jamais causé de tort à autrui, la vengeance est une vertu." C'est une collection d'aphorismes de cette trempe que renferme ce petit ouvrage, appelé à tenir dans la poche, sinon à occuper durablement sa table de nuit. Dans un style à la Flaubert dans son Dictionnaire des idées reçues, ces diatribes acerbes sonnent comme autant de piqûres de rappel. Celui qui est devenu l'un des maîtres du fantastique sait introduire ce qu'il faut de méchanceté ("Le premier homme que vous croiserez est un imbécile. Si vous pensez le contraire, interrogez-le et il vous le prouvera"). Ajoutez à cela une once d'anticléricalisme ("Chrétiens et chameaux accueillent leurs fardeaux à genoux"), une pointe de lucidité trempée dans l'ironie ("La mort n’est pas la fin ; il reste le litige sur l'héritage"), enfin une infime misogynie ("Pour étudier ce...
Recueil d'informations utiles ou futiles qui n'ont pas la pretention de faire autorite, d'etre exhaustives ni meme pratiques. Mais elles sont assurement uniques et divertissantes. [SDM].
101 situations où votre smartphone devient toxique, 101 moments où votre smartphone ne vous sert strictement à rien, 101 bonnes raisons de raccrocher, 101 solutions pour ENFIN décrocher ! "Ce que je vous propose ici, c'est de réapprendre à lever la tête de nos écrans, de commencer à nous désintoxiquer doucement, c'est avec quelques astuces à appliquer au quotidien, à redécouvrir la beauté de la vie, la vraie. Moi aussi, j'ai passé des soirées, où, exaspéré, je regardais les quatre personnes présentes, les yeux rivés sur leurs écrans, à sourire du dernier SMS reçu. Par mimétisme, je me suis retrouvé moi aussi aspiré dans le grand néant numérique du zapping à volonté, à jongler entre mails, réseaux, actualités, hashtags, SMS, et appels... seul. Mon smartphone est-il devenu mon doudou ? Pourquoi l'avoir à portée d'oreille 24 heures sur 24 ? Suis-je devenu victime de sa tyrannie ? En fait, comme vous, je ne sais pas répondre à ces questions... mais je les crains. Sans renier l'utilité de ces satanées machines, je vous propose de rééquilibrer leur usage pour diminuer notre dépendance et revivre !"
Texte intégral révisé suivi d'une biographie d'Ambrose Bierce. L'auteur du "Dictionnaire du diable" est désormais reconnu comme le créateur de la "short story" d'horreur, et à ce titre comme l'initiateur d'un courant majeur de la littérature américaine contemporaine, de Richard Matheson à Anne Rice en passant bien entendu par Stephen King. Si Bierce a avec Edgar Poe le même goût du morbide, la même délectation pour la mort, violente, cruelle, il s'inspire pour sa part de la réalité la plus prosaïque — ici la Guerre de Sécession — qu'il décrit avec une minutie et une précision quasi photographiques. "Morts violentes" en est une bonne illustration. Là, pas de fantastique au sens littéraire du terme mais une exploration clinique de la réalité la plus crue, d'où nait le surnaturel et, chez le lecteur, le sentiment de l'horreur. Aussi, c'est à de véritables variations sur les métamorphoses du corps mort ou agonisant que se livre Bierce, de la vision d'un pendu sur un pont ("Ce qui se passa sur le pont de Owl Creek"), à celles du face-à-face pendant toute une nuit d'un soldat et d'un cadavre ("Une rude bagarre"), d'un espion apprenant qu'il va être...
Les hommes, les idées, les œuvres : tel est le fil conducteur qui a guidé la réalisation de ce Dictionnaire du Moyen Âge, littérature et philosophie. Comme les autres titres de la série, il emprunte son contenu à l’Encyclopaedia Universalis et partage avec sa source le soin apporté au choix des auteurs et à la sélection des sujets traités. L’aire géographique couverte par les quelque 400 articles qui le composent ne se limite pas à l’Occident : le Proche et le Moyen-Orient y sont aussi largement présents. Ainsi, les pensées nées en islam (Averroès) ou au sein du judaïsme (Maimonide) y côtoient celles qui sont issues de la chrétienté latine (Thomas d’Aquin) ou grecque (Grégoire Palamas). Un millénaire d’intense activité intellectuelle ne se réduit pas à ces quelques grands noms, et le dictionnaire fait une large place aux dizaines d’auteurs (d’Abélard à Wyclif) dont l’œuvre constitue la trame de la philosophie médiévale, souvent étroitement liée à la théologie. Au cours du Moyen Âge, la littérature aussi prend son autonomie. Écrivains et poètes (Dante, Froissart, Pétrarque, Villon...), genres littéraires (chanson de geste,...
Etudes des relations entre les traités de démonologie et la littérature aux XVIe et XVIIe siècles, avec un questionnement sur le rapport entre démonologie et fiction.
400 articles tirés du fonds de l’Encyclopaedia Universalis forment un tableau foisonnant de l’histoire du théâtre et témoignent de sa vitalité contemporaine : les metteurs en scène, les troupes, les acteurs et actrices, les théoriciens, les critiques, les écrivains et dramaturges sont présentés par des auteurs compétents et sûrs. Pour l’étudiant ou le professionnel, mais aussi pour l’amateur ou le simple spectateur, ce Dictionnaire du Théâtre est un guide de l’essentiel et une source inépuisable de réflexions sur l’art dramatique.
Qui est vraiment le Diable ? Le Diable connaît, à l’heure actuelle, un regain d’intérêt qui va de la fascination à l’inquiétude, de la curiosité à une certaine terreur. Car celui que le nouveau Testament nomme « Le Prince de ce Monde » semble être plus présent que jamais. Pour comprendre et appréhender ce phénomène, pour savoir vraiment ce qui est en cause et de quoi - ou de qui - l’on parle, un ouvrage sérieux manquait cruellement. Il fallait un livre parfaitement documenté, le plus complet possible, capable de déchiffrer et clarifier le discours démonologique. À côté d’une analyse approfondie axée sur l’existence des démons, leur histoire et le danger à les invoquer, en passant par la signification des pactes, des envoûtements et des messes noires, cet ouvrage nous entraîne dans l’univers des entités démoniaques. Un dictionnaire exhaustif les répertorie toutes, décrivant leur apparence, leurs fonctions, leurs prescriptions magiques et les dangers inhérents à leur éventuelle activation. Pour cette deuxième édition, les auteurs ont considérablement enrichi le dictionnaire et posé un regard critique indispensable sur les dérives...
VOUS AVEZ TOUJOURS RÊVÉ DE SAVOIR : Ce qu’est un éditeur indépendant ? Comment se définit une ligne éditoriale (et comment on la tient) ? La vérité sur les rapports auteurs-éditeur ? Ce qui se passe dans le service des manuscrits ? Qu’est-ce que la Pop Culture ? Pourquoi le diablotin se déplace sur la couverture ? Comment Jean-Paul Didierlaurent a publié son premier roman ? Pourquoi les lecteurs sont scotchés par la langue de Gaiman ? Que fait Nicolas Rey quand il n’écrit pas ? Comment fait-on pour vendre poésie et nouvelles ? Combien d’essais il faut pour trouver la bonne couverture ? ALORS LISEZ CE LIVRE ! L’histoire pop d’une maison d’édition indépendante qui fête 20 ans de combat et d’engagement pour la littérature et l’imaginaire. À la fois plongée dans les coulisses de la création du livre et découverte par le menu d’une « maison pas comme les autres », voici le récit d’une aventure éditoriale semée d’embûches et de rencontres précieuses. Avec : • L’histoire de la maison • Une conversation avec Marion Mazauric, la diablesse en chef • Un dictionnaire du Diable • Des entretiens avec auteurs et amis qui évoquent...
Le Dictionnaire des codes homosexuels, répertoire unique en son genre, accompagne les essais Homosexualité intime et Homosexualité sociale, et réunit les 184 symboles qui surgissent le plus souvent d'une œuvre homosexuelle à une autre (et parfois d'une vie de personne homosexuelle à une autre). Moins on a réfléchi sur la nature violente des désirs homosexuels et hétérosexuels, plus on en utilise et on en actualise sans le faire exprès. Moins on les tolère parce qu'on les trouve choquants, plus on risque de les transformer en faits ou en personnes qu'ils ne sont pas à l'origine. Ces codes homosexuels ne sont pas des réalités sur les homosexuels, mais uniquement des signes utilisés par un désir particulier, le désir homosexuel, qui cherche à se dire tout en étant nié par ceux qui l'expriment. La première partie du Dictionnaire des codes homosexuels balaie l'univers symbolique de la communauté homosexuelle de la lettre A à la lettre H. Elle est bien évidemment complétée par une seconde partie qui achève l'alphabet.
Étendu à la Belgique, à la Suisse et au Québec, ce Dictionnaire du Cinéma français parcourt un large champ temporel et spatial. D’Adjani (Isabelle) à Z (film de Costa-Gavras), près de 400 articles empruntés à l’Encyclopædia Universalis retracent le chemin parcouru depuis les frères Lumière pour donner naissance à cette « nébuleuse en expansion permanente » qu’est le cinéma français. Les réalisateurs et metteurs en scène y ont la plus grande part, mais les comédiens et comédiennes, les techniciens, les producteurs, les écoles ne sont pas oubliés dans une table des matières où brillent les noms des meilleurs experts et des spécialistes les plus reconnus (Claude Beylie, Jean Collet, Alain Garel, Joël Magny, René Prédal, Noël Simsolo...). Pour l’amateur, l’étudiant, le professionnel, ce Dictionnaire du Cinéma français est une mine inépuisable d’aperçus éclairants et d’informations sûres.