La vie de George Eliot
Auteure: Émilie Romieu , Georges Romieu
Nombre de pages: 294Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
Bienvenue dans la collection Les Fiches de lecture d’Universalis George Eliot, pseudonyme de Mary Ann Evans (1819-1880), passe son enfance dans une ferme du Warwickshire où son père travaille comme régisseur. Une fiche de lecture spécialement conçue pour le numérique, pour tout savoir sur Middlemarch de George Eliot Chaque fiche de lecture présente une œuvre clé de la littérature ou de la pensée. Cette présentation est couplée avec un article de synthèse sur l’auteur de l’œuvre. A propos de l’Encyclopaedia Universalis : Reconnue mondialement pour la qualité et la fiabilité incomparable de ses publications, Encyclopaedia Universalis met la connaissance à la portée de tous. Écrite par plus de 7 200 auteurs spécialistes et riche de près de 30 000 médias (vidéos, photos, cartes, dessins...), l’Encyclopaedia Universalis est la plus fiable collection de référence disponible en français. Elle aborde tous les domaines du savoir.
Revue d'économie chrétienne : annales de la charité
Bibliographie de l'Empire français, ou Journal général de l'imprimerie et de la librairie
La Revue politique et littéraire, revue bleue
Curiosités littéraires, études singuliéres, lettres inedites, dissertations bibliographiques, comptes rendus de livres nouveau, d'événements bibliophiliques, d'enchères à sensation ...
Cette étude de la vie et de l'oeuvre de Wilkie Collins - romancier anglais (1824-1889) dont The Woman in White est toujours lu aujourd'hui - est la thèse de Doctorat d'Etat de Jean Ruer ; professeur de Littérature et Civilisation Britanniques à l'Université de Lille III, inédite lors de la disparition de celui-ci en août 1987. Les amis lillois de Jean Ruer ont entrepris la publication de cet ouvrage d'intérêt majeur pour la connaissance d'un auteur et de la littérature et civilisation de la Grande-Bretagne au XIXe siècle. Patrick Rafroidi, Président Honoraire de l'Université de Lille III et professeur à la Sorbonne-Nouvelle - lui aussi disparu aujourd'hui - et Pierre Coustillas, professeur à l'Université de Lille III-Charles de Gaulle, ont apporté, le premier une préface, le second une mise à jour de la bibliographie, à un travail qui a par ailleurs été reproduit en l'état.
C'est une autobiographie des plus intimes que forme cet ensemble de préfaces, critiques littéraires, conférences de Viviane Forrester. Pour elle, tout livre est une personne, toute œuvre en est une. Toute création est une créature. Sa voix musicale, étrangement convaincante, souvent pleine d'humour, mène irrésistiblement à la lecture, à la relecture. Celle des ouvrages si divers qui font dire à la langue ce qu'elle est faite pour taire et qui nous conduisent à découvrir ainsi nos propres et plus secrets secrets... Comme dans un perpétuel et fascinant roman, nous découvrons une kyrielle d'êtres, qui vont de Thomas Bernhard à la Bovary, de Hamlet à Jocaste, de Freud à Gauguin, de Joyce à Caliban, d'Emilie Dickinson au baron de Charlus ; des voix périlleuses du Christ, d'Antonin Artaud, Beckett ou Pasolini à celle de Virginia Woolf découverte sous toutes ses facettes, de Proust analysé au plus profond, de manière tout à fait inédite. Van Gogh y est défendu avec une verve des plus ironiques. Nous découvrons Nathalie Sarraute, Marguerite Duras, Julien Green, Jean Rhys à travers leur amitié avec l'auteur : intimité, rires et confidences souvent liées...
Dans cette nouvelle édition, Francine Mallet a pris en compte toutes les découvertes faites récemment. Elle met au jour l'ampleur de l'influence de George Sand à l'étranger, démontre combien a été profonde l'emprise et la fascination qu'elle a exercées sur les poètes et romanciers anglo-saxons, permet de comprendre comment, selon Dostoïevski lui-même, et bien d'autres, George Sand a stimulé, sinon fait naître la littérature russe d'opposition. Enfin, un nouveau chapitre : "George Sand et la musique", esquisse le rôle que la romancière a joué dans ce domaine et qui se trouve au centre des études actuelles.
L’auteur ne fait pas que décrire les enjeux moraux liés aux péripéties des protagonistes des œuvres étudiées, il témoigne également d’un autre mode d’apprentissage du "?fait moral?" pour nos contem po rains. Par la fréquentation d’œuvres littéraires signi ficatives et ayant une diffusion large dans l’aire francophone, le lecteur est lui-même amené à un questionnement sur les enjeux éthiques portés au jour par ces récits. En ce sens, il y a là, malgré la "?brièveté?" du manuscrit, l’exemple parfait d’une contribution de ce que le croisement entre littérature et recherche morale peut porter de fruits. Sans entrer dans une discussion serrée des enjeux épistémologiques d’un tel croisement disciplinaire, l’auteur offre un ouvrage qui incarne ce type d’approche. Il n’y a pas à ma connaissance de telle contribution dans le monde francophone, et de manière encore plus spécifique, dans le monde de l’étude des traditions morales religieuses.??Guy Jobin, Ph. D., professeur à l'Université Laval,?rédacteur francophone de la revue Studies in Religion / Sciences religieuses
" Un ouvrage des éditions du Cerf, maison des cultes, des cultures et des civilisations. Le Cerf est le premier éditeur religieux de France et de l'espace francophone. "
Ce recueil d'articles explore la question de l'engagement dans le roman féminin britannique des xviiie et xixe siècles. Dans une période qui voit l'émergence progressive de l'individu, du sujet politique et de la figure de l'auteur, les femmes continuent d'être perçues et traitées comme des êtres essentiellement inférieurs et leur voix n'est guère entendue. Mais certaines d'entre elles se saisissent du genre nouveau qu'est le roman à l'époque pour s'exprimer. Les romancières engagent alors leur personne, car l'écriture n'est pas sans risque pour leur réputation ou leur survie sociale dans une société patriarcale, et cette menace les amène souvent à adopter des stratégies obliques, voire paradoxales. Cet ouvrage ne vise pas l'exhaustivité, mais il offre un éventail très large de femmes écrivains connues ou moins connues, de la pionnière Mary Wollstonecraft à l'auteure canonique George Eliot, en passant par Sophia Lee, Clara Reeve, Ann Radcliffe, Mary Shelley, Jane Austen, Susan Ferrier, Harriet Martineau, Margracia Loudon, Elizabeth Gaskell, Charlotte et Anne Brontë. Les différentes contributions du recueil permettent de lire comment certaines...
Si chacun a le pouvoir de vivre selon la raison, comment se fait-il que si peu la suivent, alors même qu’un grand nombre s’en réclament ? Certains voient le meilleur, mais font le pire. D’autres font le pire en croyant qu’il est le meilleur. Tous font tout ce qu’ils peuvent, et se réjouissent finalement de ce qu’ils sont. La philosophie de Spinoza rend compte de ces paradoxes : toute puissance est en acte. Qui peut le plus s’efforce nécessairement de faire le plus et ne peut faire moins. Qui peut le moins fait le moins volontiers, sans pouvoir faire plus. Chacun est aussi parfait qu’il peut l’être, et agit de la façon dont il y est disposé, malgré lui mais de gré, si ce n’est de bon gré. Le concept de disposition, tel qu’il s’élabore dans l’Éthique, permet de saisir la pratique commune des hommes dans un cadre nécessitariste et actualiste, de l’inconstance affective à la régularité des coutumes, des obsessions passionnelles à l’éducation et à l’affranchissement de la servitude. L’existence humaine n’est pas une comédie, encore moins une tragédie. Avec Spinoza, il s’agit d’en produire l’intelligence.
Cet ouvrage retrace l’histoire de la littérature anglaise depuis le Moyen Âge jusqu’aux nouvelles expériences de lecture ou de spectacle proposées par les auteurs contemporains. Il analyse avec clarté toutes les œuvres clés qui en font la richesse, en définit le genre et les resitue dans leur contexte. En insistant sur les ruptures et les continuités entre les différents genres et périodes, il explique comment se font les révolutions poétiques et esthétiques. Un glossaire des termes littéraires le complète utilement et permet d’acquérir des outils d’analyse. PLAN DE L’OUVRAGE 1. L’avènement d’une littérature en anglais (VIIe-XVe) 2. La littérature élisabéthaine et jacobéenne (1558-1625) 3. Le début du XVIIe siècle sous le signe de la littérature religieuse (1625-1660) 4. La littérature de la Restauration (1660-1702) 5. De la raison à la vision (1702-1798) 6. Le romantisme (1798-1837) 7. La littérature victorienne (1837-1901) 8. Le XXe siècle et la révolution moderniste (1901-1950) 9. Les contemporains (1950-2018)